
D’entrée de jeu le candidat de Bennoo siggil senegaal a tenu à clarifier les choses en affirmant que le choix porté sur lui n’est pas le fruit d’une ambition individuelle. « Vous le savez, ma candidature n’est pas le fruit d’une ambition individuelle, mais bien la résultante d’un effort concerté de construction collective de forces politiques et citoyennes soucieuses de bâtir une équipe à travers ma modeste personne pour une refondation de notre République ».
Selon Niasse, les Sénégalais vivent chaque jour dans une incertitude. « Chaque jour, les populations s’interrogent sur leur avenir, un avenir chargé d’incertitudes mais aussi porteur d’espoirs pour ceux qui savent attendre, espérer et agir face aux périls ».
Il a fini par demander à ses inconditionnels d’agir. « Car, le premier devoir de l’être humain est de rebondir pour défendre ses droits, organiser sa vie, maîtriser son environnement, assumer son destin, chaque fois que les circonstances l’exigent. C’est bien le cas aujourd’hui, à quelques semaines du scrutin présidentiel ».
Le processus démocratique du Sénégal est menacé, à en croire le candidat de Bennoo siggil senegaal. « Les acquis démocratiques sont menacés et les espaces de liberté ne cessent de se rétrécir du fait d’une mal gouvernance avérée, entêtée, pesante et dévastatrice ».
Dans la série des questions-réponses, Moustapha Niasse a souligné qu’il n’y aura pas de « syndromes de 2000 ». « Nous nous connaissons et nous faisons tout ensemble et Bennoo ne doit pas disparaître avec l’élection présidentielle ».
Pour l’heure et selon Niasse, il y a 25 partis politiques, mouvements citoyens et des personnalités indépendantes qui forment Bennoo.
Pour le problème des enfants mendiants (Talibés), Niasse soutient qu’il y a une solution d’éducation à la base qui est essentielle. « Nos enfants doivent être éduqués à la base, et cela nécessite la construction des infrastructures scolaires ».
Pour savoir s’il mettra en place de la politique de « la chasse aux sorcières ». Moustapha Niasse coupe court : « Je ne suis pas chasseur, pour pratiquer la chasse aux sorcières. Je les (famille de Me Wade) pardonnerai en laissant la justice et les autres institutions républicaine de la République ».
Moustapha Niasse était accompagné de celui qu’on appelle « Le Mandela du Sénégal » en l’occurrence Amath Dansokho, d’Abdoulaye Bathily, Robert Sagna, Penda Mbow, pour ne citer que ceux-ci, et ce, devant des journalistes et des militants qui ont pris d’assaut la salle donnant l’impression d’un meeting politique.
Selon Niasse, les Sénégalais vivent chaque jour dans une incertitude. « Chaque jour, les populations s’interrogent sur leur avenir, un avenir chargé d’incertitudes mais aussi porteur d’espoirs pour ceux qui savent attendre, espérer et agir face aux périls ».
Il a fini par demander à ses inconditionnels d’agir. « Car, le premier devoir de l’être humain est de rebondir pour défendre ses droits, organiser sa vie, maîtriser son environnement, assumer son destin, chaque fois que les circonstances l’exigent. C’est bien le cas aujourd’hui, à quelques semaines du scrutin présidentiel ».
Le processus démocratique du Sénégal est menacé, à en croire le candidat de Bennoo siggil senegaal. « Les acquis démocratiques sont menacés et les espaces de liberté ne cessent de se rétrécir du fait d’une mal gouvernance avérée, entêtée, pesante et dévastatrice ».
Dans la série des questions-réponses, Moustapha Niasse a souligné qu’il n’y aura pas de « syndromes de 2000 ». « Nous nous connaissons et nous faisons tout ensemble et Bennoo ne doit pas disparaître avec l’élection présidentielle ».
Pour l’heure et selon Niasse, il y a 25 partis politiques, mouvements citoyens et des personnalités indépendantes qui forment Bennoo.
Pour le problème des enfants mendiants (Talibés), Niasse soutient qu’il y a une solution d’éducation à la base qui est essentielle. « Nos enfants doivent être éduqués à la base, et cela nécessite la construction des infrastructures scolaires ».
Pour savoir s’il mettra en place de la politique de « la chasse aux sorcières ». Moustapha Niasse coupe court : « Je ne suis pas chasseur, pour pratiquer la chasse aux sorcières. Je les (famille de Me Wade) pardonnerai en laissant la justice et les autres institutions républicaine de la République ».
Moustapha Niasse était accompagné de celui qu’on appelle « Le Mandela du Sénégal » en l’occurrence Amath Dansokho, d’Abdoulaye Bathily, Robert Sagna, Penda Mbow, pour ne citer que ceux-ci, et ce, devant des journalistes et des militants qui ont pris d’assaut la salle donnant l’impression d’un meeting politique.
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