Khalifa Sall pourrait bien nourrir un brin d'espoir, si le président de la République Macky Sall tient la promesse qu’il avait tenue lors du lancement du dialogue national le 28 mai 2019. Lorsque le chef de l'Etat a été interpellé par la nouvelle élue de la ville de Dakar, Soham Wardini sur une possible libération de son collaborateur, Macky Sall a répondu en ces termes:
"Pour ce qui est du cas de Khalifa Sall, "sama doomou baay la" (nous avons le même nom de famille). Nous prions Dieu pour lui. Mais ce qu'il faut comprendre dans cette affaire, c'est que le Sénégal est un pays de droit. Donc le président de la République ne peut pas intervenir tant que l'affaire est entre les mains de la justice. Ce n'est pas moi qui fais la justice. Je ne peux qu'intervenir qu'à la fin de toute procédure. Comme la Constitution me le permet. Si la justice boucle le dossier, je peux alors intervenir avec la grâce présidentielle", a déclaré le président Sall.
A cela s’ajoutent les révélations du socialiste Serigne Mbaye Thiam, invité hier à l'émission de « Jury de dimanche ». Le ministre de l’Hydraulique, sur I-Radio informe qu’Ousmane Tanor Dieng a eu des discussions avec le président Macky Sall pour que Khalifa Sall soit gracié.
Même son de cloche chez le maire de Médina, Bamba Fall qui faisait allusion la dernière volonté du défunt. « Mon plus grand souhait est la retrouvaille de la famille socialiste et vous pouvez jouer un des plus grand rôle. Ensemble nous allons nous battre pour sa libération. Il est parti. Et il a laissé derrière lui son souhait de voire le parti socialiste réuni ", a-t-il lâché à la maison mortuaire de Ousamane Tanor Dieng.
"Pour ce qui est du cas de Khalifa Sall, "sama doomou baay la" (nous avons le même nom de famille). Nous prions Dieu pour lui. Mais ce qu'il faut comprendre dans cette affaire, c'est que le Sénégal est un pays de droit. Donc le président de la République ne peut pas intervenir tant que l'affaire est entre les mains de la justice. Ce n'est pas moi qui fais la justice. Je ne peux qu'intervenir qu'à la fin de toute procédure. Comme la Constitution me le permet. Si la justice boucle le dossier, je peux alors intervenir avec la grâce présidentielle", a déclaré le président Sall.
A cela s’ajoutent les révélations du socialiste Serigne Mbaye Thiam, invité hier à l'émission de « Jury de dimanche ». Le ministre de l’Hydraulique, sur I-Radio informe qu’Ousmane Tanor Dieng a eu des discussions avec le président Macky Sall pour que Khalifa Sall soit gracié.
Même son de cloche chez le maire de Médina, Bamba Fall qui faisait allusion la dernière volonté du défunt. « Mon plus grand souhait est la retrouvaille de la famille socialiste et vous pouvez jouer un des plus grand rôle. Ensemble nous allons nous battre pour sa libération. Il est parti. Et il a laissé derrière lui son souhait de voire le parti socialiste réuni ", a-t-il lâché à la maison mortuaire de Ousamane Tanor Dieng.
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