Son successeur à la tête de la police, Abdoulaye Niang également cité au cœur de cette affaire, est l’un de ses collaborateurs avec qui il a travaillé pendant 12 ans. Malgré les accusations du rapport produit par la commissaire Cheikhna Keïta, Codé Mbengue soutient mordicus que son successeur n’en est rien impliqué. Au contraire, révèle-t-il, pendant plusieurs années, ce dernier tirait carrément le diable par la queue.
« Abdoulaye Niang n’a pas une maison à lui actuellement. Il loge dans une maison conventionnée. Celle-ci se trouve à la Sicap, vers le terminus du P 9. Quand il était à l’OCRTIS, il avait juste un véhicule de service. Ils ont une maison familiale qui est occupée par sa mère et son frère… », témoigne Codé Mbengue qui ajoute dans les colonnes de « L’as » qu’Abdoulaye Niang « alors à la tête de l’OCRTIS, venait parfois au bureau en clando ou en bus ».
« Abdoulaye Niang n’a pas une maison à lui actuellement. Il loge dans une maison conventionnée. Celle-ci se trouve à la Sicap, vers le terminus du P 9. Quand il était à l’OCRTIS, il avait juste un véhicule de service. Ils ont une maison familiale qui est occupée par sa mère et son frère… », témoigne Codé Mbengue qui ajoute dans les colonnes de « L’as » qu’Abdoulaye Niang « alors à la tête de l’OCRTIS, venait parfois au bureau en clando ou en bus ».
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