Ndèye Ndiaye « Atlanta » n’a jamais oublié qu’elle a laissé derrière elle des femmes meurtries, indigentes et même persécutées dans un conflit où cette catégorie sociale a été la plus exposée, la plus brimée. C’est ce triste destin réservé aux femmes, notamment celles de sa Casamance natale qui commandera l’action et l’engagement de cette dame de caractère. De son séjour américain, Ndèye Ndiaye « Atlanta » se bat pour venir en aide à la gente féminine. Cet engagement la fera remarquer au sein de la communauté Sénégalaise des Etats-Unis d’Amérique. Chaque année donc, elle revenait dans son pays natal pour apporter son soutien à ses sœurs.
Par ses actions, Ndèye Ndaye « Atlanta » frappe naturellement dans l’œil des politiciens qui commencent à se bousculer devant sa porte. Parce que déjà, au pays de l’oncle Sam, la jeune femme qui animait un programme francophone destiné aux ressortissants de l’Afrique de l’ouest et aux Américains francophones dans une radio de la place avait fini de faire l’unanimité autour de ses qualités de tribun et de ses aptitudes politiques. Toutes ces qualités, Ndèye Ndiaye « Atlanta » les mettra finalement au service d’un jeune cadre Casamançais sur qui il fondait beaucoup d’espoirs pour améliorer la situation de ses compatriotes du sud. La fibre régionaliste l’amène donc à collaborer avec Abdoulaye Baldé. Seulement, son compagnonnage avec celui qui deviendra le cinquième maire de Ziguinchor fera long feu.
Après trois mois dans le cabinet ministériel de celui-ci, Ndèye Ndiaye « Atlanta » retourne à ses premiers amours : le développement. Ce passage en politique lui permit de comprendre certaines règles dans un monde à part où rien ne se donne gratuitement. Forte de cette expérience, Ndèye Ndiaye « Atlanta » prit du recul, mais, pour mieux sauter. Et c’est dans l’Apr qu’elle dépose ses baluchons, convaincue par le « Yoonu Yokkuté », le programme de campagne du candidat Macky Sall. C’est d’ailleurs pourquoi elle décide de rentrer « définitivement » au Sénégal. Une fois sur place, elle participe à la victoire de Macky Sall.
Mais, très attachée à sa région natale, la Casamance, Ndèye Ndiaye « Atlanta » milite à Ziguinchor. « Elle portera son choix sur un homme avec qui elle partage les mêmes préoccupations de développement, Doudou Kâ, actuel administrateur général du fonds de garantie des investissements prioritaires. « Je crois au développement et je veux être utile à ma société. D’où la pertinence de mon engagement auprès de Doudou Kâ, un homme qui a une grande expertise dans les questions de développement et une ambition de faire de Ziguinchor, une vitrine, un hub sous-régional », justifiait-elle.
Ce responsable politique pour lequel elle voue beaucoup de sympathie sera d’ailleurs son mentor. Mais, son caractère quelque fois tranché la mettra sur la trajectoire de tir de certaines femmes politiques de la commune de Ziguinchor, et au-delà. Une adversité qui ne semble cependant pas ébranler outre mesure cette dame que certains appellent Aline Sitoé Diatta. « Je n’opterai jamais, comme certains, dans le style feutré et louvoyant du clair-obscur dans ma démarche », a-t-elle l’habitude de répondre à ses détracteurs qui ne manquent pas, même dans son propre camp. Son seul combat aujourd’hui, c’est de participer à mettre le Sénégal, avec la Casamance à son flanc sud, sur la voie de l’émergence. Une mission que Ndèye Ndiaye « Atlanta » mène bien en tant que présidente du réseau des femmes pour l’émergence de Ziguinchor.
Par ses actions, Ndèye Ndaye « Atlanta » frappe naturellement dans l’œil des politiciens qui commencent à se bousculer devant sa porte. Parce que déjà, au pays de l’oncle Sam, la jeune femme qui animait un programme francophone destiné aux ressortissants de l’Afrique de l’ouest et aux Américains francophones dans une radio de la place avait fini de faire l’unanimité autour de ses qualités de tribun et de ses aptitudes politiques. Toutes ces qualités, Ndèye Ndiaye « Atlanta » les mettra finalement au service d’un jeune cadre Casamançais sur qui il fondait beaucoup d’espoirs pour améliorer la situation de ses compatriotes du sud. La fibre régionaliste l’amène donc à collaborer avec Abdoulaye Baldé. Seulement, son compagnonnage avec celui qui deviendra le cinquième maire de Ziguinchor fera long feu.
Après trois mois dans le cabinet ministériel de celui-ci, Ndèye Ndiaye « Atlanta » retourne à ses premiers amours : le développement. Ce passage en politique lui permit de comprendre certaines règles dans un monde à part où rien ne se donne gratuitement. Forte de cette expérience, Ndèye Ndiaye « Atlanta » prit du recul, mais, pour mieux sauter. Et c’est dans l’Apr qu’elle dépose ses baluchons, convaincue par le « Yoonu Yokkuté », le programme de campagne du candidat Macky Sall. C’est d’ailleurs pourquoi elle décide de rentrer « définitivement » au Sénégal. Une fois sur place, elle participe à la victoire de Macky Sall.
Mais, très attachée à sa région natale, la Casamance, Ndèye Ndiaye « Atlanta » milite à Ziguinchor. « Elle portera son choix sur un homme avec qui elle partage les mêmes préoccupations de développement, Doudou Kâ, actuel administrateur général du fonds de garantie des investissements prioritaires. « Je crois au développement et je veux être utile à ma société. D’où la pertinence de mon engagement auprès de Doudou Kâ, un homme qui a une grande expertise dans les questions de développement et une ambition de faire de Ziguinchor, une vitrine, un hub sous-régional », justifiait-elle.
Ce responsable politique pour lequel elle voue beaucoup de sympathie sera d’ailleurs son mentor. Mais, son caractère quelque fois tranché la mettra sur la trajectoire de tir de certaines femmes politiques de la commune de Ziguinchor, et au-delà. Une adversité qui ne semble cependant pas ébranler outre mesure cette dame que certains appellent Aline Sitoé Diatta. « Je n’opterai jamais, comme certains, dans le style feutré et louvoyant du clair-obscur dans ma démarche », a-t-elle l’habitude de répondre à ses détracteurs qui ne manquent pas, même dans son propre camp. Son seul combat aujourd’hui, c’est de participer à mettre le Sénégal, avec la Casamance à son flanc sud, sur la voie de l’émergence. Une mission que Ndèye Ndiaye « Atlanta » mène bien en tant que présidente du réseau des femmes pour l’émergence de Ziguinchor.
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