« Comme je l’ai dit, le dialogue, il est politique certes mais il est aussi un dialogue social, dans les entreprises, un dialogue de société. Nous n’avons pas célébré en un seul jour la Tabaski, c’est un problème. Là-aussi, il y a nécessité à dialoguer entre les différentes communautés et obédiences religieuses pour mettre ensemble toutes les connaissances, toutes les pratiques et voir comment nous pouvons éviter qu’il y est dans un pays deux (2) Tabaski et deux (2) prières sinon il arrivera un moment où chacun fera ce que bon lui semble. Ce n’est pas dans l’intérêt de l’Islam, de notre société. C’est une question que je laisse au soin des chefs religieux mais aussi des Imams, des Oulémas et de toutes les personnes qui peuvent apporter une contribution. Un dialogue vraiment ouvert…», a-t-il préconisé.
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