Le Professeur Maguèye Kassé, n’a pas caché son inquiétude face aux risques que «pourrait courir le Sénégal par rapport à la décision du Conseil Constitutionnel attendu dans un sens comme dans un autre du fait de l’entêtement de quelqu’un à vouloir se présenter à tout prix». Invité de l’émission Remue-Ménage de la Rfm ce dimanche 28 aout, le spécialiste en civilisation Allemande contemporaine a indiqué qu’il «faut toujours attirer l’attention des différents acteurs politiques sur les enjeux que constituent les élections de 2012 et tout le potentiel de danger que recèle une situation qui serait à l’origine de dérives dont nous percevons déjà les signent avant-coureurs».
Pour lui, les gens ont suffisamment attiré l’attention de l’opinion nationale comme de l’opinion internationale sur l’ensemble des risques que ferait courir un pays, un certains nombres de décisions ou un certain nombre de pratiques qui iraient à l’encontre de l’exercice de la démocratie par le peuple souverain. Donc cette situation-là, explique-t-il, étant lourde de danger, il faut que chacun entreprenne la conscience et mesure sa responsabilité individuelle comme sa responsabilité collective qui incombe à chacun d’entre nous pour dire que ce pays ne peut pas aller à la dérive, le pays ne peut pas connaitre une instabilité comme l’ont connu d’autres pays puisque le prix à payer pour cela serait trop lourd. Et donc il faut savoir raison gardé.
Le professeur de classe exceptionnel de faire savoir que «nous ne sommes pas dans une logique de va-t’en guerre, nous ne sommes pas dans une logique de désordre créée et entretenue mais nous serions dans une logique de préserver la paix civile, les intérêts de notre pays. Parce que nous savons, par expérience tirée des autres pays y compris de la sous-région, le prix qu’il faudrait payer à cela».
Pour lui, les gens ont suffisamment attiré l’attention de l’opinion nationale comme de l’opinion internationale sur l’ensemble des risques que ferait courir un pays, un certains nombres de décisions ou un certain nombre de pratiques qui iraient à l’encontre de l’exercice de la démocratie par le peuple souverain. Donc cette situation-là, explique-t-il, étant lourde de danger, il faut que chacun entreprenne la conscience et mesure sa responsabilité individuelle comme sa responsabilité collective qui incombe à chacun d’entre nous pour dire que ce pays ne peut pas aller à la dérive, le pays ne peut pas connaitre une instabilité comme l’ont connu d’autres pays puisque le prix à payer pour cela serait trop lourd. Et donc il faut savoir raison gardé.
Le professeur de classe exceptionnel de faire savoir que «nous ne sommes pas dans une logique de va-t’en guerre, nous ne sommes pas dans une logique de désordre créée et entretenue mais nous serions dans une logique de préserver la paix civile, les intérêts de notre pays. Parce que nous savons, par expérience tirée des autres pays y compris de la sous-région, le prix qu’il faudrait payer à cela».
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