
Un sénégalais très connu, adorant le luxe et se déclarant « expert financier » employé par un organisme international en poste dans un pays scandinave, est fortement mis en cause pour des faits de blanchissement d’argent de capitaux à la suite d’une enquête de la Cellule Nationale de Traitement des Informations Financières (CENTIF).
Parallèlement à ses activités, il se déclare gérant d‘une société à responsabilité limitée. Au nom de cette société, il a ouvert un compte dans une banque de la place où il a effectué une opération de versement d’un chèque libellé en devise étrangère d’une contre-valeur d’environ 19 milliards de F CFA.
En l’absence d’informations suffisantes sur les activités de la société et de son dirigeant, et au regard de nombreux doutes sur l’authenticité du chèque, la banque a refusé d’exécuter l’opération avant de déposer une plainte pour faux et usage de faux en écriture privée avant de transmettre une déclaration de soupçons à la CENTIF, informe «Libération ».
Parallèlement à ses activités, il se déclare gérant d‘une société à responsabilité limitée. Au nom de cette société, il a ouvert un compte dans une banque de la place où il a effectué une opération de versement d’un chèque libellé en devise étrangère d’une contre-valeur d’environ 19 milliards de F CFA.
En l’absence d’informations suffisantes sur les activités de la société et de son dirigeant, et au regard de nombreux doutes sur l’authenticité du chèque, la banque a refusé d’exécuter l’opération avant de déposer une plainte pour faux et usage de faux en écriture privée avant de transmettre une déclaration de soupçons à la CENTIF, informe «Libération ».
Autres articles
-
Budget, carte de presse, RTS, dialogue : le SYNPICS dresse un tableau alarmant de la situation des médias
-
Fête du Travail : Moustapha Cissé plaide pour une presse forte, digne et résolument souveraine
-
Le SYNPICS interpelle le Président Diomaye sur la suspension de 381 médias
-
« Médias non conformes », la fausse route du ministère de la Communication (par Moussa Ngom)
-
1er mai : à Matam le Coems met l’accent sur la question des décisionnaires et le déficit d’enseignants