Le SNTTRS a dans ses revendications la baisse du prix du carburant et la fin des « tracasseries policières » et « contrôles intempestifs ».
« Nous avons donné l’ordre au directeur général de la Police de veiller à la réduction des contrôles intempestifs dans les agglomérations », a affirmé Souleymane Ndéné Ndiaye au sortir d’une réunion avec les transporteurs en grève.
« La Police doit contrôler les véhicules, mais elle ne doit pas empêcher les transporteurs de faire leur travail. Cela ne donne non plus aux transporteurs l’autorisation de violer les règles de la conduite automobile », a ajouté M. Ndiaye, qui s’exprimait en wolof.
En ce qui concerne l’un des points de revendications, en l’occurrence la situation des motos-taxis, le PM dit avoir discuté avec les transporteurs de leur différend avec les conducteurs de motos-taxis "Jakarta", que les professionnels accusent de mener une concurrence déloyale. « Le gouvernement s’en chargera. On ne peut pas supprimer ce type de transport (les motos Jakarta), parce que c’est le gagne-pain de ceux qui le pratiquent. On va y mettre de l’ordre », a-t-il promis.
Lors de cette réunion tenue à huis clos, les transporteurs ont, selon le Premier ministre, demandé que soit mise un terme à la rétention du permis de conduire par les services judiciaires, en cas de délit commis par le chauffeur.
En position de force, les routiers veulent que le ministère des Transports terrestres, des Transports ferroviaires et de l’Aménagement du territoire se charge du permis de conduire du chauffeur en cas de délit commis par ce dernier sur la route.
Souleymane Ndéné Ndiaye dit avoir mis sur pied une commission chargée d’étudier cette doléance. Cette commission verra même s’il est nécessaire de modifier le Code de la route ou le Code de procédure pénale, pour satisfaire la demande des transporteurs, a-t-il dit, selon l’Agence de presse sénégalaise (APS).
Cela n’empêchera pas les services compétents de continuer à mettre « sur le droit chemin » les chauffeurs ne respectant pas les règles de la conduite automobile, selon M. Ndiaye. Et le contrôle de la circulation routière va être renforcé pour le respect des règles les plus élémentaires.
Le Syndicat national des travailleurs des transports routiers du Sénégal mettra fin à sa grève entamée lundi ou la poursuivra, selon les résultats de sa rencontre avec le ministre délégué chargé de l’Energie, Ibrahima Sarr, mardi soir.
Les deux parties doivent discuter du prix du carburant, dont les transporteurs exigent la baisse. Pour l’heure, les citoyens restent accrochés pour l’attente de la décision finale.
« Nous avons donné l’ordre au directeur général de la Police de veiller à la réduction des contrôles intempestifs dans les agglomérations », a affirmé Souleymane Ndéné Ndiaye au sortir d’une réunion avec les transporteurs en grève.
« La Police doit contrôler les véhicules, mais elle ne doit pas empêcher les transporteurs de faire leur travail. Cela ne donne non plus aux transporteurs l’autorisation de violer les règles de la conduite automobile », a ajouté M. Ndiaye, qui s’exprimait en wolof.
En ce qui concerne l’un des points de revendications, en l’occurrence la situation des motos-taxis, le PM dit avoir discuté avec les transporteurs de leur différend avec les conducteurs de motos-taxis "Jakarta", que les professionnels accusent de mener une concurrence déloyale. « Le gouvernement s’en chargera. On ne peut pas supprimer ce type de transport (les motos Jakarta), parce que c’est le gagne-pain de ceux qui le pratiquent. On va y mettre de l’ordre », a-t-il promis.
Lors de cette réunion tenue à huis clos, les transporteurs ont, selon le Premier ministre, demandé que soit mise un terme à la rétention du permis de conduire par les services judiciaires, en cas de délit commis par le chauffeur.
En position de force, les routiers veulent que le ministère des Transports terrestres, des Transports ferroviaires et de l’Aménagement du territoire se charge du permis de conduire du chauffeur en cas de délit commis par ce dernier sur la route.
Souleymane Ndéné Ndiaye dit avoir mis sur pied une commission chargée d’étudier cette doléance. Cette commission verra même s’il est nécessaire de modifier le Code de la route ou le Code de procédure pénale, pour satisfaire la demande des transporteurs, a-t-il dit, selon l’Agence de presse sénégalaise (APS).
Cela n’empêchera pas les services compétents de continuer à mettre « sur le droit chemin » les chauffeurs ne respectant pas les règles de la conduite automobile, selon M. Ndiaye. Et le contrôle de la circulation routière va être renforcé pour le respect des règles les plus élémentaires.
Le Syndicat national des travailleurs des transports routiers du Sénégal mettra fin à sa grève entamée lundi ou la poursuivra, selon les résultats de sa rencontre avec le ministre délégué chargé de l’Energie, Ibrahima Sarr, mardi soir.
Les deux parties doivent discuter du prix du carburant, dont les transporteurs exigent la baisse. Pour l’heure, les citoyens restent accrochés pour l’attente de la décision finale.
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