«Nous avons décidé, en tant que mouvement citoyen de solliciter d’abord l’adhésion des Sénégalais à travers une pétition pour dire oui ou non s’ils adhérent à l’idée de saisir la Communauté internationale aussi bien les partenaires latéraux que bilatéraux pour une fois, qu’ils nous aident, non pas en nous donnant leur argent mais en nous rendant notre argent», a confié Bara Tall. Car il pense que cet argent là, « c’est mieux dans nos poches, dans nos projets pour que ces problèmes que sont les inondations, le manque d’équipements dans les hôpitaux soient réglés».
Pour atteindre cet objectif, Bara Tall compte sur les relations de l’ancien ministre des Affaires étrangères de Me Wade. «Pour cela, nous avons besoin de l’expérience de mon ami et frère Cheikh Tidiane Gadio au niveau de ses contacts internationaux», a-t-il dit.
A l’en croire, cette plainte éventuelle sera aussi appuyée par des organisations similaires qui se trouvent dans les pays du nord, partenaires au développement de notre pays. «Je pense que là-bas aussi, il y a des partenaires qui sont préoccupés de l’utilisation qu’on fait de leurs deniers publics», croit-il. Il estime qu’ils auraient préféré qu’avant de prendre de leur poche pour nous aider, qu’ils nous aident d’abord à garder ce que nous avons, ce qui nous revient de droit.
Optimiste pour la réussite de cette pétition, le natif de Thiès a décidé de faire signer la pétition aux tenants du Pouvoir. « Je pense que cette initiative va emporter l’adhésion de ceux qui nous dirigent actuellement. Parce que si jamais cet argent revient dans ce pays là, on les mettra dans les caisses de l’Etat et c’est à eux d’en faire bon usage. Donc, nous allons leur présenter cette pétition pour qu’ils la signent » a noté Bara Tall qui a marqué toute sa détermination à poursuivre ce dossier jusqu’au bout. «Nous allons nous arrêter sur cette histoire là et nous allons le poursuivre jusqu’au bout. Pour que les bénéficiaires si tenté que ces commissions existent qu’on voit si oui ou non ils en ont droit. S’ils n’en ont pas droit qu’on les rapatrie au Sénégal», martèle Bara Tall, très décidé. Pour lui, il faut d’abord régler les problèmes. «J’ai dit dans une image qui vaut ce qu’elle vaut que même si demain on nous disait qu’on a vendu le palais de la république, nous n’allions pas en faire un problème tant que ce problème n’est pas réglé», a-t-il imagé.
Pour atteindre cet objectif, Bara Tall compte sur les relations de l’ancien ministre des Affaires étrangères de Me Wade. «Pour cela, nous avons besoin de l’expérience de mon ami et frère Cheikh Tidiane Gadio au niveau de ses contacts internationaux», a-t-il dit.
A l’en croire, cette plainte éventuelle sera aussi appuyée par des organisations similaires qui se trouvent dans les pays du nord, partenaires au développement de notre pays. «Je pense que là-bas aussi, il y a des partenaires qui sont préoccupés de l’utilisation qu’on fait de leurs deniers publics», croit-il. Il estime qu’ils auraient préféré qu’avant de prendre de leur poche pour nous aider, qu’ils nous aident d’abord à garder ce que nous avons, ce qui nous revient de droit.
Optimiste pour la réussite de cette pétition, le natif de Thiès a décidé de faire signer la pétition aux tenants du Pouvoir. « Je pense que cette initiative va emporter l’adhésion de ceux qui nous dirigent actuellement. Parce que si jamais cet argent revient dans ce pays là, on les mettra dans les caisses de l’Etat et c’est à eux d’en faire bon usage. Donc, nous allons leur présenter cette pétition pour qu’ils la signent » a noté Bara Tall qui a marqué toute sa détermination à poursuivre ce dossier jusqu’au bout. «Nous allons nous arrêter sur cette histoire là et nous allons le poursuivre jusqu’au bout. Pour que les bénéficiaires si tenté que ces commissions existent qu’on voit si oui ou non ils en ont droit. S’ils n’en ont pas droit qu’on les rapatrie au Sénégal», martèle Bara Tall, très décidé. Pour lui, il faut d’abord régler les problèmes. «J’ai dit dans une image qui vaut ce qu’elle vaut que même si demain on nous disait qu’on a vendu le palais de la république, nous n’allions pas en faire un problème tant que ce problème n’est pas réglé», a-t-il imagé.
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