
Selon la Croix-Rouge, cette situation installe la crise alimentaire qui touche entre autres, les régions de Saint-Louis, Matam, Louga, Diourbel, Kaffrine, Sédhiou et Kédougou. L’accès aux trois repas quotidiens demeure un casse-tête dans le monde rural où la période de soudure est de plus en plus pressante.
Selon le journal « Sud Quotidien », le temps est compté pour l’Etat qui est dans l’obligation d’intervenir rapidement avec son besoin urgent chiffré à 3,5 milliards de F Cfa pour des vivres de soudures, 15 milliards pour des semences, 15 milliards pour l’engrais et deux milliards pour de l’aliment de bétail.
Manger devient de plus en plus difficile pour certaines familles au Fouladou. De la ville au village, les conséquences de la mauvaise campagne agricole sont déjà perceptibles. Les greniers sont devenus vide et survivre relève de plus en plus d’exploit des responsables de famille, précise le même journal.
« Du Pakao au Sofagnama en passant par le Kamako, le Diéga ou Bissabor, les chefs de familles sont fortement préoccupés par le déficit alimentaire. Pour l’essentiel les habitants de la région puisent leur alimentation dans la production agricole. Pour cette dernière campagne agricole les récoltes ont été jugées très mauvaises. Une situation dont la cause est naturelle avec l’insuffisance des pluies et leur mauvaise répartition spatio-temporelle », indique « Sud Quotidien ».
En effet, les greniers ne sont pas garnis. Les différends responsables de famille interrogés, comme Idrissa Baldé de Saré Goundo, l’expliquent : « la production de mil souna qui constitue l’essentiel de la nourriture va se terminer avant fin mai. Nous n’avons pas pu avoir du riz ni du maïs à cause de la pluie. Beaucoup de familles du village n’ont plus de mil. Les chefs de familles survivent en achetant, au quotidien, le riz au détail ». Chose difficile, ajoute t-il, « car nous n’avons aucune sources de revenu. Il y a des familles qui sont obligées de se limiter à un seul repas par jour. Nous n’avons pas encore la famine mais si rien n’est fait nous allons vers ça. Il n’y a pas de doute possible ».
Selon le journal « Sud Quotidien », le temps est compté pour l’Etat qui est dans l’obligation d’intervenir rapidement avec son besoin urgent chiffré à 3,5 milliards de F Cfa pour des vivres de soudures, 15 milliards pour des semences, 15 milliards pour l’engrais et deux milliards pour de l’aliment de bétail.
Manger devient de plus en plus difficile pour certaines familles au Fouladou. De la ville au village, les conséquences de la mauvaise campagne agricole sont déjà perceptibles. Les greniers sont devenus vide et survivre relève de plus en plus d’exploit des responsables de famille, précise le même journal.
« Du Pakao au Sofagnama en passant par le Kamako, le Diéga ou Bissabor, les chefs de familles sont fortement préoccupés par le déficit alimentaire. Pour l’essentiel les habitants de la région puisent leur alimentation dans la production agricole. Pour cette dernière campagne agricole les récoltes ont été jugées très mauvaises. Une situation dont la cause est naturelle avec l’insuffisance des pluies et leur mauvaise répartition spatio-temporelle », indique « Sud Quotidien ».
En effet, les greniers ne sont pas garnis. Les différends responsables de famille interrogés, comme Idrissa Baldé de Saré Goundo, l’expliquent : « la production de mil souna qui constitue l’essentiel de la nourriture va se terminer avant fin mai. Nous n’avons pas pu avoir du riz ni du maïs à cause de la pluie. Beaucoup de familles du village n’ont plus de mil. Les chefs de familles survivent en achetant, au quotidien, le riz au détail ». Chose difficile, ajoute t-il, « car nous n’avons aucune sources de revenu. Il y a des familles qui sont obligées de se limiter à un seul repas par jour. Nous n’avons pas encore la famine mais si rien n’est fait nous allons vers ça. Il n’y a pas de doute possible ».
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