
A l’Alliance Pour la République (APR), la stratégie à adopter par rapport à la dernière sortie du président de Rewmi est déjà prise. Conscient de la complexité du débat, le parti du président de la République impose tout bonnement le silence à ses députés pour échapper au « piège » tendu par Idrissa Seck. Dans une réunion qu’ils auraient tenue pour harmoniser leur position par rapport à la sortie du leader de la formation orange, les responsables « apéristes » ont eu comme mot d’ordre d’imposer le silence à leurs parlementaires. « Nous avons décidé, nous députés de l’APR, de ne pas parler de cette question et de laisser les politiques répondre à Idrissa Seck car c’est une question de politique politicienne », sert un député de l’APR. Une position confirmée par le président du groupe parlementaire de Benno Bokk Yaakaar. Joint au téléphone par nos confrères de « L’observateur », Moustapha Diakhaté répond : « aucune réaction, je ne réagis pas ».
Autres articles
-
Féminicides au Sénégal : Anta Babacar Ngom appelle à une réaction urgente du président de la République et des députés
-
Réforme du CFEE et du BFEM, problème de l’Etat civil, suppression de l'entrée en 6e : les mesures prises par le PM Ousmane Sonko
-
Dialogue national : l’APR en colère contre les déserteurs, Abdoulaye Saydou Sow au cœur des critiques
-
Côte d’Ivoire : Ousmane Sonko élevé au rang de citoyen d’honneur de Bouaké
-
En difficulté au Sénégal, Macky tisse sa toile pour le poste de secrétaire général de l'ONU