Les équipes d’Eiffage Concessions présidées par Gérard Sénac ont reçu, ce vendredi, la visite du président de l’Assemblée nationale du Gabon Faustin Boukoubi. Accompagné d’une forte délégation, à sa tête l’ambassadeur du Gabon au Sénégal, monsieur Régis ONANGA M. Ndiaye, a observé avec beaucoup d'intérêt la direction, les services annexes de l’entreprise, passant par la salle PC dédié à la surveillance de l'Autoroutes de l'avenir exploitée par Eiffage.
Interrogé sur cette visite, l’ambassade du Gabon au Sénégal a exprimé sa joie de visiter un tel investissement routier, allant même jusqu’à annoncé une possible coopération Sud-Sud.
« De prime abord, je vous dirai que je ne suis pas impressionné parce que je suis un résident local, mais un bon Africain. L’expérience sénégalaise de mon point de vue mérite d’être connue et mérite surtout d’être partagée maintenant, dans le cadre de tout ce qui peut constituer des éléments de coopération Sud-Sud. Venir voir ce que nos frères sénégalais ont réalisé ici, afin de nous en inspirer pour réussir et réaliser des investissements de la même mesure chez nous au Gabon », a-t-il soutenu en présence Gérard Senac.
Il poursuit : « et pourquoi pas dans d’autres pays, dans d’autres sous-régions dans l’objectif que vous connaissez sûrement créer des passerelles de communication Sud-Sud comme vous (Sénégal) le faites si bien au niveau de la Cedeao. Nous aussi, on serait tenté de le réussir au niveau de la CEMAC (Communauté Economique et Monétaire de l'Afrique Centrale) plus loin au niveau de l’ensemble de notre région. »
S'agissant de la sécurité routière qui fait défaut au Sénégal, avec plus de 600 morts enregistrés sur les routes par an, l'ambassadeur du Gabon au Sénégal estime que cela doit porter dans une réflexion plus grande, a savoir les comportements ou l'état des véhicules et non sur la qualité des infrastructures routières.
« C’est un constat triste et déplorable pour nous qui résidons au Sénégal que nous partageons malheureusement. Mais là je pense que qu’il faut aller dans une réflexion plus grande. Et regardez les causes de l’accident. Est-ce que cela est dû aux infrastructures routières de cette qualité ? Je ne pense pas. Il faut qu’on regarde les responsabilités individuels peut-être à travers le mauvais comportement (des chauffeurs), le mauvais état des véhicules et tout ce qui est Code de la route », a t-il indiqué.
Interrogé sur cette visite, l’ambassade du Gabon au Sénégal a exprimé sa joie de visiter un tel investissement routier, allant même jusqu’à annoncé une possible coopération Sud-Sud.
« De prime abord, je vous dirai que je ne suis pas impressionné parce que je suis un résident local, mais un bon Africain. L’expérience sénégalaise de mon point de vue mérite d’être connue et mérite surtout d’être partagée maintenant, dans le cadre de tout ce qui peut constituer des éléments de coopération Sud-Sud. Venir voir ce que nos frères sénégalais ont réalisé ici, afin de nous en inspirer pour réussir et réaliser des investissements de la même mesure chez nous au Gabon », a-t-il soutenu en présence Gérard Senac.
Il poursuit : « et pourquoi pas dans d’autres pays, dans d’autres sous-régions dans l’objectif que vous connaissez sûrement créer des passerelles de communication Sud-Sud comme vous (Sénégal) le faites si bien au niveau de la Cedeao. Nous aussi, on serait tenté de le réussir au niveau de la CEMAC (Communauté Economique et Monétaire de l'Afrique Centrale) plus loin au niveau de l’ensemble de notre région. »
S'agissant de la sécurité routière qui fait défaut au Sénégal, avec plus de 600 morts enregistrés sur les routes par an, l'ambassadeur du Gabon au Sénégal estime que cela doit porter dans une réflexion plus grande, a savoir les comportements ou l'état des véhicules et non sur la qualité des infrastructures routières.
« C’est un constat triste et déplorable pour nous qui résidons au Sénégal que nous partageons malheureusement. Mais là je pense que qu’il faut aller dans une réflexion plus grande. Et regardez les causes de l’accident. Est-ce que cela est dû aux infrastructures routières de cette qualité ? Je ne pense pas. Il faut qu’on regarde les responsabilités individuels peut-être à travers le mauvais comportement (des chauffeurs), le mauvais état des véhicules et tout ce qui est Code de la route », a t-il indiqué.
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