La conférence des ministres de l’Education des Etats et gouvernements de la Francophonie (CONFOMEN) a fêté 60 ans, ce lundi 10 février 2020. Cet événement qui a pour objectif de valoriser les acquis, mais aussi de partager ses nouvelles orientations qui visent à impacter davantage le développement de l’Education en francophonie a été l’occasion pour parer sur la mauvaise qualité de l’enseignement.
En tant que première institution intergouvernementale des pays ayant le français en partage, le secrétaire général de la CONFOMEN, Abdourahmane Baba Moussa, estimant que la question de la qualité est un éternel enjeu note dans son discours que « l’une des raisons de cette baisse de qualité, c'est d’abord des enseignants, au delà des conditions de travail dans les salles de classe. »
Toutefois, pour rehausser le système éducatif « il faut qu’il ait des enseignants de qualité si bien dans le programme d’évaluation de système éducatif, qu’une modernisation surtout vers le numérique », propose-t-il.
Car, explique le secrétaire général de la CONFOMEN « quand on l’a crée c’est surtout d’accompagner les pays francophones à mettre en place des politiques éducatives qui répondent au besoin de développement socioculturel. Et donc les ministres se réunissaient tous les deux pour échanger l’évolution du système éducatif. Alors pour accompagner les ministres nous avons deux types d’interventions. Ce que nous produisons est régulièrement des documents de réflexion et d’orientations thématiques essentielles qui permettent aux ministres de définir leur politique éducative. Et ensuite nous organisons des rencontres techniques avec les correspondants nationaux pour permettre le suivi des documents et à la fin il y aura une évaluation qui s’est réalisée périodiquement pour voir les résultats obtenus au niveau des élèves. Et se sont ces résultats qui sont interprétés et réinvestis pour aider les pays à améliorer leur système éducatif ».
Et quant à Penda Mbow qui est venue représenter le ministre l’Education nationale sur l’ensemble des activités entrant dans le cadre de la célébration des 60 ans de COFIDEM, pense que « l’un des défis de la CONFIMEN, de l’ifef et de toutes les institutions de la francophonie ce n’est même pas un problème d’aller vers la maîtrise et la pureté de la langue mais d’aider surtout ceux qui interviennent dans l’espace public à une meilleure prononciation du français. Ce qui nous permettra déjà d’avancer un peu plus ».
En tant que première institution intergouvernementale des pays ayant le français en partage, le secrétaire général de la CONFOMEN, Abdourahmane Baba Moussa, estimant que la question de la qualité est un éternel enjeu note dans son discours que « l’une des raisons de cette baisse de qualité, c'est d’abord des enseignants, au delà des conditions de travail dans les salles de classe. »
Toutefois, pour rehausser le système éducatif « il faut qu’il ait des enseignants de qualité si bien dans le programme d’évaluation de système éducatif, qu’une modernisation surtout vers le numérique », propose-t-il.
Car, explique le secrétaire général de la CONFOMEN « quand on l’a crée c’est surtout d’accompagner les pays francophones à mettre en place des politiques éducatives qui répondent au besoin de développement socioculturel. Et donc les ministres se réunissaient tous les deux pour échanger l’évolution du système éducatif. Alors pour accompagner les ministres nous avons deux types d’interventions. Ce que nous produisons est régulièrement des documents de réflexion et d’orientations thématiques essentielles qui permettent aux ministres de définir leur politique éducative. Et ensuite nous organisons des rencontres techniques avec les correspondants nationaux pour permettre le suivi des documents et à la fin il y aura une évaluation qui s’est réalisée périodiquement pour voir les résultats obtenus au niveau des élèves. Et se sont ces résultats qui sont interprétés et réinvestis pour aider les pays à améliorer leur système éducatif ».
Et quant à Penda Mbow qui est venue représenter le ministre l’Education nationale sur l’ensemble des activités entrant dans le cadre de la célébration des 60 ans de COFIDEM, pense que « l’un des défis de la CONFIMEN, de l’ifef et de toutes les institutions de la francophonie ce n’est même pas un problème d’aller vers la maîtrise et la pureté de la langue mais d’aider surtout ceux qui interviennent dans l’espace public à une meilleure prononciation du français. Ce qui nous permettra déjà d’avancer un peu plus ».
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