
L'appel à témoins, lancé par le Procureur de la République, Serigne Bassirou Gueye, suite à l’enquête de la chaîne britannique BBC sur le scandale Petrotim risque de soulever l’ire des Libéraux. Pour cause le président de mouvement Tekki, Mamadou Lamine Diallo, n’est pas contre l’audition de l’ancien président Abdoulaye Wade dans l’information judiciaire déclenchée par le Procureur sur le « scandale à 10 milliards de dollars », mettant en cause le jeune frère du président de la République, Aliou Sall et l'homme d'affaire Frank Timis.
« Pourquoi pas. Je pense qu’il (Me. wade ) peut dire dans quelles conditions, il a signé la convention avec Petrotim. Qu’est-ce qu’on lui a présenté comme dossier ? Je suis sérieux. Je n’ai pas de problème avec ça, je peux même lui poser la question », répond l'Invité du ’’Jury du dimanche 30 juin 2019, (JDD) sur Iradio, interrogé sur l’utilité du témoignage de l’ancien chef de l’Etat, Me Abdoulaye Wade, pour la manifestation de la vérité.
Déjà, révèle-t-il, il doit rencontrer le prédécesseur du Président Sall pour parler de l'affaire, « puisque, dit-il, nous sommes ensemble dans le même groupe parlementaire (Liberté et Démocratie) à l’Assemblée nationale».
Lui, est-il prêt à y répondre ? Mamadou Lamine Diallo n’est pas catégorique : « Oui, bien sûr mais je suis un député quand même. Il faut respecter la loi, et moi, je ne m’amuse pas avec ça. »
Toutefois, le leader de Tekki déplore le fait qu’Aliou Sall et Frank Timis n’aient toujours pas été convoqués par la Division des investigations criminelles (DIC) dans le cadre de la procédure.
« Pourquoi pas. Je pense qu’il (Me. wade ) peut dire dans quelles conditions, il a signé la convention avec Petrotim. Qu’est-ce qu’on lui a présenté comme dossier ? Je suis sérieux. Je n’ai pas de problème avec ça, je peux même lui poser la question », répond l'Invité du ’’Jury du dimanche 30 juin 2019, (JDD) sur Iradio, interrogé sur l’utilité du témoignage de l’ancien chef de l’Etat, Me Abdoulaye Wade, pour la manifestation de la vérité.
Déjà, révèle-t-il, il doit rencontrer le prédécesseur du Président Sall pour parler de l'affaire, « puisque, dit-il, nous sommes ensemble dans le même groupe parlementaire (Liberté et Démocratie) à l’Assemblée nationale».
Lui, est-il prêt à y répondre ? Mamadou Lamine Diallo n’est pas catégorique : « Oui, bien sûr mais je suis un député quand même. Il faut respecter la loi, et moi, je ne m’amuse pas avec ça. »
Toutefois, le leader de Tekki déplore le fait qu’Aliou Sall et Frank Timis n’aient toujours pas été convoqués par la Division des investigations criminelles (DIC) dans le cadre de la procédure.
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