L'affaire autour du décret polémique, portant honorariat en faveur des anciens présidents du CESE, s'étend désormais sur le terrain des hostilités politiques. Après que le directeur du quotidien national Le Soleil Yakham Mbaye, ait fustigé la sortie de Bassirou Diomaye Faye de Pastef qui confirme l'existence du décret, autour de la Convergence des Jeunesses Républicaines COJER de s’ériger en bouclier contre le coordonnateur des Cadres du parti dirigé par Ousmane Sonko, tout en réclamant sa radiation.
" Nous prenons l’opinion nationale à témoin car les pratiques malsaines des affidés de Ousmane Sonko au sein de l’administration sénégalaise posent problème. En effet, nous avons tous constaté avec désolation leur propension à exhiber des documents ou informations frappés du sceau de la confidentialité à des fins politiques. Ainsi, lors de son intervention dans l’émission Lii diffusée sur la 2STV, le dimanche 17 mai 2020, Bassirou Diomaye Faye a déclaré que le décret 2020-964 circulant dans les réseaux sociaux, a fait le circuit interne de la DGID. Une telle déclaration sur un plateau de télévision de la part d’un haut fonctionnaire qui est sensé gardé le secret professionnel, viole honteusement l’obligation de réserve consacrée par la loi n°61-33 du 15 juin 1961 relative au Statut général des Fonctionnaires de l’État. D’autant plus que l’information en question ne vient pas de la Présidence de la République voire le Communiqué de la Cellule de Communication. Du reste, l’enquête qui sera ouverte sur cette affaire va déterminer les circonstances de naissance de ce faux document et les personnes impliquées dans sa diffusion", prend acte le mouvement dans un communiqué parvenu à Pressafrik.
De ce fait Moussa SOW, le Coordinateur de la COJER Nationale demande la radiation pure et simple de Bassirou Diomaye Faye. "À ce titre, la sagesse aurait recommandé une réserve de la part de Bassirou Diomaye Faye, mais comme son mentor Ousmane Sonko, il a préféré sauter sur l’occasion pour entrer dans le registre des révélations en tant qu’Inspecteur des Impôts et Domaines. Vous comprendrez comme moi que de telles velléités visent à braquer l’Administration contre l’État. C’est pourquoi j’estime que l’État, garant des fondements sacro-saints de la République doit sévir avec une sanction rapide et appropriée. Tant la sanction constitue ce repère indispensable dans la galaxie administrative. Elle est la traduction concrète du principe de responsabilité qui fonde le pacte républicain. Et pour ce forfait aucune sanction n’est extrême !"
" Nous prenons l’opinion nationale à témoin car les pratiques malsaines des affidés de Ousmane Sonko au sein de l’administration sénégalaise posent problème. En effet, nous avons tous constaté avec désolation leur propension à exhiber des documents ou informations frappés du sceau de la confidentialité à des fins politiques. Ainsi, lors de son intervention dans l’émission Lii diffusée sur la 2STV, le dimanche 17 mai 2020, Bassirou Diomaye Faye a déclaré que le décret 2020-964 circulant dans les réseaux sociaux, a fait le circuit interne de la DGID. Une telle déclaration sur un plateau de télévision de la part d’un haut fonctionnaire qui est sensé gardé le secret professionnel, viole honteusement l’obligation de réserve consacrée par la loi n°61-33 du 15 juin 1961 relative au Statut général des Fonctionnaires de l’État. D’autant plus que l’information en question ne vient pas de la Présidence de la République voire le Communiqué de la Cellule de Communication. Du reste, l’enquête qui sera ouverte sur cette affaire va déterminer les circonstances de naissance de ce faux document et les personnes impliquées dans sa diffusion", prend acte le mouvement dans un communiqué parvenu à Pressafrik.
De ce fait Moussa SOW, le Coordinateur de la COJER Nationale demande la radiation pure et simple de Bassirou Diomaye Faye. "À ce titre, la sagesse aurait recommandé une réserve de la part de Bassirou Diomaye Faye, mais comme son mentor Ousmane Sonko, il a préféré sauter sur l’occasion pour entrer dans le registre des révélations en tant qu’Inspecteur des Impôts et Domaines. Vous comprendrez comme moi que de telles velléités visent à braquer l’Administration contre l’État. C’est pourquoi j’estime que l’État, garant des fondements sacro-saints de la République doit sévir avec une sanction rapide et appropriée. Tant la sanction constitue ce repère indispensable dans la galaxie administrative. Elle est la traduction concrète du principe de responsabilité qui fonde le pacte républicain. Et pour ce forfait aucune sanction n’est extrême !"
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