Les détenus de la prison de Tambacounda ont entamé une grève de la faim pour attirer l’attention de la hiérarchie pénitentiaire sur leur sort. Depuis le départ de de la ministre de la justice, Aminata Touré, ces prisonniers observent une grève de la faim pour réclamer de meilleures conditions carcérales, respectant les droit élémentaires des détenus.
Le journal « L’Observateur » nous informe que les pensionnaires de la maison d’arrêt qui réclament de meilleures conditions, exigent également qu’une enquête soit menée dans l’établissement pénitentiaire. Ils promettent néanmoins d'arrêter la grève « si les autorités judiciaires apportent des réponses concrètes à leurs revendications ».
"Depuis que la visite de Me le ministre de la justice a été annoncée dans la prison, tous les détenus ont été menacés de sanctions, si jamais ils élevaient la voix devant le garde des Sceaux. Les conditions s’étaient améliorées avant et à son arrivée, mais tout a changé après son départ », se plaignent les prisonniers.
Le journal « L’Observateur » nous informe que les pensionnaires de la maison d’arrêt qui réclament de meilleures conditions, exigent également qu’une enquête soit menée dans l’établissement pénitentiaire. Ils promettent néanmoins d'arrêter la grève « si les autorités judiciaires apportent des réponses concrètes à leurs revendications ».
"Depuis que la visite de Me le ministre de la justice a été annoncée dans la prison, tous les détenus ont été menacés de sanctions, si jamais ils élevaient la voix devant le garde des Sceaux. Les conditions s’étaient améliorées avant et à son arrivée, mais tout a changé après son départ », se plaignent les prisonniers.
Autres articles
-
Campagne de distribution de médicaments contre les MTN : And Gueusseum appelle à l'engagement de ses membres
-
Sénégalais morts à l'étranger : le bilan s'élève à 22 (liste des morts par pays)
-
Mali : un ressortissant sénégalais tué à Kéniéba
-
Kaolack : plusieurs cantines ravagées par un incendie au marché Guedj
-
Vacances de Noël fixées au 24 décembre à 18h par l'Ucad : la Coordination des étudiants Catholiques parle d'un "manque de considération"