
« Les difficultés liées à ma santé physique actuelle ne semblent pas me disqualifier à vos yeux ». Voilà le message du président Abdelaziz Bouteflika aux Algériens.
Dans cette lettre, il rappelle que c’est la paix qui a permis au pays de se développer ces dernières années. Il promet une révision de la Constitution avant la fin de l’année s’il est élu et il assure que son programme se base sur la défense du pays contre les menaces de déstabilisation internes et externes. Bref, des éléments de langage que ses proches n’ont cessé de répéter au fil des mois mais qui, cette fois, servent de top départ officiel à sa campagne.
Car ce dimanche matin, c’est le premier jour de la campagne électorale qui va durer trois semaines. Trois semaines au cours desquelles les candidats vont parcourir le pays. Ali Benflis a prévu en moyenne deux meetings par jour. Pour Abdelaziz Bouteflika, ils seront sept à animer des meetings, dont l’ancien Premier ministre, le président du Sénat et quatre ministres. L’ancien Premier ministre Abdelmalek Sellal a affirmé à la presse samedi qu’il n’était pas prévu que le président participe à des meetings.
Des temps de paroles dans les médias publics égaux ont été attribués hier. Mais la presse souligne déjà que la campagne sera déséquilibrée.
Source : Rfi.fr
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