Le Parti de la construction et de la solidarité (PCS)/JENGU TABAX ne compte pas participer au dialogue politique, initié par le président Macky Sall, prévu, ce 31 mai. Selon le parti dirigé par Boubacar Camara, y assister serait de valider « une troisième candidature et sur une amnistie sur des deniers publics comme il le refuserait sur la forme républicaine de l’État ».
«Le PCS/JENGU TABAX récuse toute participation à un dialogue sur une troisième candidature et sur une amnistie sur des deniers publics comme il le refuserait sur la forme républicaine de l’État », lit-on dans leur communiqué.
Pour Boubacar Camara et Cie, les « conditions dans lesquelles ce dialogue a été convoqué ne leur mettent pas à l’abri de surprises avec l’inscription de points non convenus et relatifs à des questions liées à des calculs politiques partisans comme la modification du calendrier électoral. »
Par contre sur les autres questions d’intérêt national, à savoir entre acteurs politiques et de la société civile pour préserver la paix et la sérénité, à savoir l’exercice des droits et libertés et l’intégrité du processus électoral, le PCS/JENGU TABAX estime qu’un « dialogue est nécessaire et doit être mené suivant des modalités à définir d’un commun accord. »
Mais dans la situation actuelle, le PCS/ JENGU TABAX préconise que les partis, mouvements et personnalités politiques et de la société civile ayant refusé de répondre à l’appel au « Dialogue national », se concertent, notamment dans le cadre du F.24, pour harmoniser leurs positions et les consigner dans un mémorandum à confier à un Médiateur à désigner.»
«Le PCS/JENGU TABAX récuse toute participation à un dialogue sur une troisième candidature et sur une amnistie sur des deniers publics comme il le refuserait sur la forme républicaine de l’État », lit-on dans leur communiqué.
Pour Boubacar Camara et Cie, les « conditions dans lesquelles ce dialogue a été convoqué ne leur mettent pas à l’abri de surprises avec l’inscription de points non convenus et relatifs à des questions liées à des calculs politiques partisans comme la modification du calendrier électoral. »
Par contre sur les autres questions d’intérêt national, à savoir entre acteurs politiques et de la société civile pour préserver la paix et la sérénité, à savoir l’exercice des droits et libertés et l’intégrité du processus électoral, le PCS/JENGU TABAX estime qu’un « dialogue est nécessaire et doit être mené suivant des modalités à définir d’un commun accord. »
Mais dans la situation actuelle, le PCS/ JENGU TABAX préconise que les partis, mouvements et personnalités politiques et de la société civile ayant refusé de répondre à l’appel au « Dialogue national », se concertent, notamment dans le cadre du F.24, pour harmoniser leurs positions et les consigner dans un mémorandum à confier à un Médiateur à désigner.»
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