Le délégué général à la protection sociale, Mansour Faye, a annoncé hier, vendredi que la promesse faite par le Chef de l’Etat Macky Sall d’allouer des bources à des familles démunies va être mise à exécution entre le 15 et 30 septembre prochains. C’est ce qui est ressorti du troisième conseil interministériel consacré à la question. Après deux heures de discussion entre le Premier ministre Abdoul Mbaye, les partenaires et les services concernés, Mansour Faye dans les colonnes du journal « Le Quotidien », délivre « un message heureux ».
« Les familles vulnérables vont recevoir les premiers versements entre le 15 et 30 septembre », a-t-il indiqué. Le montant de l’allocation est fixé à 25 000 francs par trimestre, et va être acheminé via la poste. Sont concernés par ce programme d’aide 50 mille ménages à travers tout le territoire national dont l’identification est laissée par les autorités locales.
Dans le travail de sélection, ces organes vont se baser sur des critères bien déterminés. « Pour être éligible au programme, il faudrait que les familles soit dans l’extrême pauvreté. C’est ta dire les ménages qui dépassent 75% du seuil de pauvreté soit en moyenne 740 francs de dépense quotidienne », indique Mansour Faye. En contrepartie, les familles bénéficières sont soumises à des conditions. Il s’agit selon Mansour Faye « du maintien et de suivi de l’enfant à l’école, de la tenu d’un carnée de santé pour les enfants de 0 à 5 ans et de leur inscription à l’état civil ». ces critères remplis, les familles assurent leur maintien dans le programme et peuvent toucher leur allocation pendant trois ans le temps que le programme doit duré.
« Les familles vulnérables vont recevoir les premiers versements entre le 15 et 30 septembre », a-t-il indiqué. Le montant de l’allocation est fixé à 25 000 francs par trimestre, et va être acheminé via la poste. Sont concernés par ce programme d’aide 50 mille ménages à travers tout le territoire national dont l’identification est laissée par les autorités locales.
Dans le travail de sélection, ces organes vont se baser sur des critères bien déterminés. « Pour être éligible au programme, il faudrait que les familles soit dans l’extrême pauvreté. C’est ta dire les ménages qui dépassent 75% du seuil de pauvreté soit en moyenne 740 francs de dépense quotidienne », indique Mansour Faye. En contrepartie, les familles bénéficières sont soumises à des conditions. Il s’agit selon Mansour Faye « du maintien et de suivi de l’enfant à l’école, de la tenu d’un carnée de santé pour les enfants de 0 à 5 ans et de leur inscription à l’état civil ». ces critères remplis, les familles assurent leur maintien dans le programme et peuvent toucher leur allocation pendant trois ans le temps que le programme doit duré.
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