‘’C’est une question qui revient souvent depuis ma prise de fonction, mais il me fallait du temps pour voir dans quelles conditions les licences de pêche ont été octroyées. Dans peu de jours -je ne donne pas de date, des mesures seront prises dans l’intérêt de tout le monde’’, a-t-il déclaré, samedi.
M. Diouf, qui a dirigé les ministères de l’Agriculture et de la Pêche de 2000 à 2004 dans les gouvernements du président sortant Abdoulaye Wade, était en visite dans les stands de la 13ème Foire internationale de l’agriculture et des ressources animales (FIARA).
‘’Je pense ça va tranquilliser tout le monde’’, a-t-il estimé. ‘’Nous sommes-là pour veiller sur la bonne marche du pays et nous ne pouvons pas tolérer de pillage de nos ressources. Il nous faut réorganiser tout cela avec des mesures fortes pour la pêche.’’
Samedi dernier, la Fédération nationale des Groupements de pêche au Sénégal (FENAGIE) a demandé au nouveau gouvernement de ‘’ne plus signer les accords de pêche’’, pour permettre aux pêcheurs et aux femmes transformatrice d’être très présents sur le marché international.
‘’Nous demandons à notre ministre de tutelle, nouvellement [choisi], de ne plus signer les accords de pêche’’, déclarait Adja Fatou Kiné Diop, présidente de l’Union nationale des femmes transformatrices de Bargny.
Selon elle, le gouvernement du Premier ministre Abdoul Mbaye doit ‘’aider les femmes à améliorer leurs conditions de travail pour avoir des produits de qualité et être compétitives sur le marché sous-régional voire international’’.
Un atelier régional s’est ouvert mercredi à Dakar portant sur ‘’les accords de pêche et la réforme de la politique commune des pêches de l’Union européenne’’.
Il vise à ‘’identifier les impacts potentiels de la réforme de la politique commune de pêche de l’Union européenne sur la pêche, en particulier sur les futurs accords de pêche avec les pays de la sous-région’’.
Les organisateurs entendent ainsi ‘’identifier les opportunités de partenariat politique, technique et financier à l’échelle régionale et internationale’’.
M. Diouf, qui a dirigé les ministères de l’Agriculture et de la Pêche de 2000 à 2004 dans les gouvernements du président sortant Abdoulaye Wade, était en visite dans les stands de la 13ème Foire internationale de l’agriculture et des ressources animales (FIARA).
‘’Je pense ça va tranquilliser tout le monde’’, a-t-il estimé. ‘’Nous sommes-là pour veiller sur la bonne marche du pays et nous ne pouvons pas tolérer de pillage de nos ressources. Il nous faut réorganiser tout cela avec des mesures fortes pour la pêche.’’
Samedi dernier, la Fédération nationale des Groupements de pêche au Sénégal (FENAGIE) a demandé au nouveau gouvernement de ‘’ne plus signer les accords de pêche’’, pour permettre aux pêcheurs et aux femmes transformatrice d’être très présents sur le marché international.
‘’Nous demandons à notre ministre de tutelle, nouvellement [choisi], de ne plus signer les accords de pêche’’, déclarait Adja Fatou Kiné Diop, présidente de l’Union nationale des femmes transformatrices de Bargny.
Selon elle, le gouvernement du Premier ministre Abdoul Mbaye doit ‘’aider les femmes à améliorer leurs conditions de travail pour avoir des produits de qualité et être compétitives sur le marché sous-régional voire international’’.
Un atelier régional s’est ouvert mercredi à Dakar portant sur ‘’les accords de pêche et la réforme de la politique commune des pêches de l’Union européenne’’.
Il vise à ‘’identifier les impacts potentiels de la réforme de la politique commune de pêche de l’Union européenne sur la pêche, en particulier sur les futurs accords de pêche avec les pays de la sous-région’’.
Les organisateurs entendent ainsi ‘’identifier les opportunités de partenariat politique, technique et financier à l’échelle régionale et internationale’’.
Avec APS
Autres articles
-
Rupture entre le F24 et le Pastef : trahison ou ingratitude ?
-
Gestion fonds Covid-19 : « Je ne suis pas concerné par une quelconque information judiciaire » (Abdoulaye Diouf Sarr)
-
Radiation de Barthelemy Dias : « il y a un parfum de revanche politique dans cette affaire », Me Moussa Diop
-
Révocation de Barthelemy Dias : le préfet aurait agi sous l’Article, L 237 du code électoral, selon Me Moussa Diop,
-
"Les Sénégalais n'accepteront pas la dictature", avertit Mamadou Mbodji, Coordonnateur de F24