La Direction de la prévision et des études économiques (Dpee) a publié, mercredi, son point mensuel de conjoncture.
A fin décembre 2023, la gestion budgétaire a été caractérisée par une légère amélioration de la mobilisation des recettes budgétaires associée à une exécution prudente des dépenses. Ainsi, les ressources globales (hors dons en capital) en 2023, évaluées, provisoirement, à 3488,0 milliards, ont enregistré une augmentation de 2,2% par rapport à 2022. Quant aux dépenses publiques (hors dépenses d'investissement financées sur ressources extérieures), elles se sont contractées de 1,9% pour s'établir à 4219,8 milliards, rapporte Libération.
Concernant les ressources, elles sont constituées de recettes budgétaires chiffrées, provisoirement, à 3413,4 milliards et de dons budgétaires estimés à 74,6 milliards, à fin décembre 2023.
La progression des ressources est attribuable aux recettes budgétaires qui ont enregistré une légère hausse de 23 milliards de Fcfa sous l'impulsion des recettes fiscales qui se sont améliorées de 2,2 pour cent atténuée par la contreperformance des recettes non fiscales.
A fin décembre 2023, la gestion budgétaire a été caractérisée par une légère amélioration de la mobilisation des recettes budgétaires associée à une exécution prudente des dépenses. Ainsi, les ressources globales (hors dons en capital) en 2023, évaluées, provisoirement, à 3488,0 milliards, ont enregistré une augmentation de 2,2% par rapport à 2022. Quant aux dépenses publiques (hors dépenses d'investissement financées sur ressources extérieures), elles se sont contractées de 1,9% pour s'établir à 4219,8 milliards, rapporte Libération.
Concernant les ressources, elles sont constituées de recettes budgétaires chiffrées, provisoirement, à 3413,4 milliards et de dons budgétaires estimés à 74,6 milliards, à fin décembre 2023.
La progression des ressources est attribuable aux recettes budgétaires qui ont enregistré une légère hausse de 23 milliards de Fcfa sous l'impulsion des recettes fiscales qui se sont améliorées de 2,2 pour cent atténuée par la contreperformance des recettes non fiscales.
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