Alors que parents et autorités n’arrivaient pas à tomber d’accord sur le bilan du chavirement de la pirogue, des journalistes qui étaient à l’Hôpital Principal de Dakar ont cherché à se rapprocher des personnes rescapées admis à l’interieur de l'établissement pour recueillir leurs témoignages. Ce qui n’a pas été du goût des autorités qui ont ordonné à la police de mettre aux arrêts Youssouf Mine et nos autres confrères.
Il a expliqué comment la scène s’est déroulée et révélé que les policiers les avaient menacés de poursuites en cas de diffusion d’éléments pris dans l’enceinte de l’Hôpital. «Nous nous sommes retrouvés devant le service des urgences de l'hôpital principal de Dakar à la recherche d'informations relatives au chavirement de la pirogue aux larges des Îles de la Madeleine. On discutait devant les locaux du pavillon France (site où sont logés les proches et les rescapés) », dit-il
Aussi ajoute-t-il « A l’arrivée du ministre de l'Environnement et de sa délégation. Il y avait la RTS et la cellule de Com d’Abdou Karim Sall. Nous avons décidé de les suivre. Quand Dr Mame Thierno Dieng nous a dépassés, il a donné des consignes aux gendarmes qui nous ont conduit sous escorte jusqu'au poste de police de la gendarmerie située à l'entrée. Nous étions 8 journalistes et caméramen. Nous avons été entendus sur PV puis libérés. On nous reproche une présence irrégulière sur les lieux. Pour eux, on devait tous avoir l'autorisation du directeur avant toute action. Avant de nous libérer, les gendarmes nous ont notifié que nous risquons des poursuites s'il y a diffusion d'images compromettantes sur les sites, télés et réseaux sociaux», a déclaré Youssouf Mine sur Dakar Actu
Il a expliqué comment la scène s’est déroulée et révélé que les policiers les avaient menacés de poursuites en cas de diffusion d’éléments pris dans l’enceinte de l’Hôpital. «Nous nous sommes retrouvés devant le service des urgences de l'hôpital principal de Dakar à la recherche d'informations relatives au chavirement de la pirogue aux larges des Îles de la Madeleine. On discutait devant les locaux du pavillon France (site où sont logés les proches et les rescapés) », dit-il
Aussi ajoute-t-il « A l’arrivée du ministre de l'Environnement et de sa délégation. Il y avait la RTS et la cellule de Com d’Abdou Karim Sall. Nous avons décidé de les suivre. Quand Dr Mame Thierno Dieng nous a dépassés, il a donné des consignes aux gendarmes qui nous ont conduit sous escorte jusqu'au poste de police de la gendarmerie située à l'entrée. Nous étions 8 journalistes et caméramen. Nous avons été entendus sur PV puis libérés. On nous reproche une présence irrégulière sur les lieux. Pour eux, on devait tous avoir l'autorisation du directeur avant toute action. Avant de nous libérer, les gendarmes nous ont notifié que nous risquons des poursuites s'il y a diffusion d'images compromettantes sur les sites, télés et réseaux sociaux», a déclaré Youssouf Mine sur Dakar Actu
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