Le ministre conseiller et directeur du cabinet du chef de l’Etat, Moubarack Lô a montré que le Sénégal est un pays qui n’a même pas encore atteint le stade de « pré-émergence ». L’économiste Moubarack Lô, dans les colonnes du journal « Le Populaire », a présenté le Sénégal comme un « pays potentiellement émergent ». « Le Sénégal n’est même pas un pays pré-émergent, c’est un pays potentiellement émergent », a-t-il lancé.
De son avis les pays émergents se subdivisent en quatre groupes. « Vous avez des pays post-émergents à l’image de la Chine et de la Malaisie. Il y a en suite des pays émergents. En Afrique, les pays émergents connus sont la Tunisie, le Maroc et l’île Maurice. Ce groupe est suivi des pays pré-émergents comme l’Egypte, le Botswana, la Lybie et le Cap Vert. Derrière, il y’a le groupe des pays potentiellement émergent. Le Sénégal est un pays potentiellement émergent à l’instar d’autres pays comme la Côte d’Ivoire et le Cameroun », a déclaré l’économiste.
Les trois économistes sont tombés d’accord sur la nécessité d’avoir une vision clairement définie par les politiques pour atteindre l’émergence. Pour le Pr El Hadji Ibrahima Sall, les politiques ne sont pas à la hauteur et l’administration ne fait que suivre aveuglement. « Regarder notre constitution, elle nous dit que la politique économique du pays est déterminée par le chef de l’Etat. Je me prends la tête et je me dis dans quoi on est embarqué ? Si chaque président qui vient établit sa politique. Où est ce qu’on en sera ? », S’est-il interrogé avant de fustiger la manière de faire des politique.
Le partenariat public est un bon moyen de booster l’économie d’un pays. Pour lui si le Sénégal veut atteindre l’émergence, il est nécessaire d’ « appuyer le secteur privé ». Ibrahima Sall est d’accord sur le principe. Mais craint un excès qui peut déboucher sur des conflits d’intérêts. Selon lui le secteur privé est installé au cœur de l’Etat ».
En dépit de son ambition d’être un pays émergent, le Sénégal ne dispose d’aucune politique de planification. Si Moubarack Lô et El Hadji Ibrahima Sall s’accordent sur le fait qu’il n’y a pas vraiment un plan au Sénégal, il n’en est pas de même pour le Directeur général du Plan. Babacar Mbaye trouve qu’il y a bien un document de plan, cependant il n’est pas bien articulé.
De son avis les pays émergents se subdivisent en quatre groupes. « Vous avez des pays post-émergents à l’image de la Chine et de la Malaisie. Il y a en suite des pays émergents. En Afrique, les pays émergents connus sont la Tunisie, le Maroc et l’île Maurice. Ce groupe est suivi des pays pré-émergents comme l’Egypte, le Botswana, la Lybie et le Cap Vert. Derrière, il y’a le groupe des pays potentiellement émergent. Le Sénégal est un pays potentiellement émergent à l’instar d’autres pays comme la Côte d’Ivoire et le Cameroun », a déclaré l’économiste.
Les trois économistes sont tombés d’accord sur la nécessité d’avoir une vision clairement définie par les politiques pour atteindre l’émergence. Pour le Pr El Hadji Ibrahima Sall, les politiques ne sont pas à la hauteur et l’administration ne fait que suivre aveuglement. « Regarder notre constitution, elle nous dit que la politique économique du pays est déterminée par le chef de l’Etat. Je me prends la tête et je me dis dans quoi on est embarqué ? Si chaque président qui vient établit sa politique. Où est ce qu’on en sera ? », S’est-il interrogé avant de fustiger la manière de faire des politique.
Le partenariat public est un bon moyen de booster l’économie d’un pays. Pour lui si le Sénégal veut atteindre l’émergence, il est nécessaire d’ « appuyer le secteur privé ». Ibrahima Sall est d’accord sur le principe. Mais craint un excès qui peut déboucher sur des conflits d’intérêts. Selon lui le secteur privé est installé au cœur de l’Etat ».
En dépit de son ambition d’être un pays émergent, le Sénégal ne dispose d’aucune politique de planification. Si Moubarack Lô et El Hadji Ibrahima Sall s’accordent sur le fait qu’il n’y a pas vraiment un plan au Sénégal, il n’en est pas de même pour le Directeur général du Plan. Babacar Mbaye trouve qu’il y a bien un document de plan, cependant il n’est pas bien articulé.
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