D'entrée de jeu, Ayib Daffé a souligné que bien que les mesures annoncées par le ministre de la Famille ne soient pas exhaustives, elles étaient, selon lui, "justes et équitables". Il a notamment salué l'indemnisation de 10 millions de francs CFA accordée aux familles des personnes décédées lors des événements tragiques. "C'est une mesure juste et équitable", a déclaré le député, en précisant que bien que l'État aurait souhaité donner plus si les finances publiques le permettaient, cette somme reste symbolique. Il a ajouté : "Si l'État en avait les moyens, il donnerait plus", tout en défendant la nature symbolique de l'indemnisation.
Pour Ayib Daffé, ceux qui considèrent cette somme comme une prime aux "casseurs" manquent de respect à la mémoire des victimes. "Ce n'est pas honorer la mémoire de ces victimes-là", a-t-il insisté. Selon lui, la priorité reste à reconnaître la souffrance des familles endeuillées.
Concernant les ex-détenus, notamment ceux qui ont été emprisonnés arbitrairement et ont perdu des mois de travail, Daffé a estimé que l'indemnisation de 500 000 francs CFA est une reconnaissance, bien qu'il reconnaisse que ce montant n'est "pas grand-chose". Cependant, il a rappelé que cela reste une forme de reconnaissance des préjudices subis.
Pour les autres victimes ayant perdu des biens matériels, le député a souligné qu'il est important de commencer par reconnaître ce qui a été fait avant de compléter les démarches pour répondre à l’ensemble des préjudices. "Il faut saluer ce qui a été fait, ce sont des mesures justes et équitables", a conclu Ayib Daffé.
Pour Ayib Daffé, ceux qui considèrent cette somme comme une prime aux "casseurs" manquent de respect à la mémoire des victimes. "Ce n'est pas honorer la mémoire de ces victimes-là", a-t-il insisté. Selon lui, la priorité reste à reconnaître la souffrance des familles endeuillées.
Concernant les ex-détenus, notamment ceux qui ont été emprisonnés arbitrairement et ont perdu des mois de travail, Daffé a estimé que l'indemnisation de 500 000 francs CFA est une reconnaissance, bien qu'il reconnaisse que ce montant n'est "pas grand-chose". Cependant, il a rappelé que cela reste une forme de reconnaissance des préjudices subis.
Pour les autres victimes ayant perdu des biens matériels, le député a souligné qu'il est important de commencer par reconnaître ce qui a été fait avant de compléter les démarches pour répondre à l’ensemble des préjudices. "Il faut saluer ce qui a été fait, ce sont des mesures justes et équitables", a conclu Ayib Daffé.
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