Parole de politicien varie, bien fol est qui s'y fie, pour ne pas paraphraser Victor Hugo. En 2012, alors que l'arrêté Ousmane Ngom, du nom du ministre de l'Intérieur d'alors, venait d'interdire aux Sénégalais d'organiser toute manifestation aux abords de la Place de l'Indépendance, l'actuel président de la République (à l'époque candidat à la Présidentielle) a pris sa plume et écrit au Haut Commissaire des Nations Unies pour dénoncer ce qu'il appelait "une violation du Droit inaliénable de tout peuple à s'exprimer librement et à manifester pacifiquement".
7 ans plus tard, c'est le même politicien qui, au courant de son deuxième mandat présidentiel, qui cautionne la répression d'une manifestation à la Place de l'Indépendance.
Les paroles s'en vont, les écrits restent...
7 ans plus tard, c'est le même politicien qui, au courant de son deuxième mandat présidentiel, qui cautionne la répression d'une manifestation à la Place de l'Indépendance.
Les paroles s'en vont, les écrits restent...
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