Les habitants du village de Wassadou dans le département de Vélingara se sont réveillés avec la peur au ventre. Des individus à mains armées, ont hanté le sommeil des habitants de cette localité située dans le département de Vélingara et à quelques kilomètre des encablures de la frontière entre le Sénégal et Guinée Bissau. Six (6) individus qui portent des armes à feu, ont fait irruption dans le village où ils ont tabassé le deuxième adjoint du maire de la commune avant de lui arracher ses 495 000 F CFA. La victime en est sortie avec des blessures.
Selon le témoignage d’une dame qui revenait des rizières, elle a aperçu des inconnus en possession d'armes. Cette attaque est la 25e du genre qui a été commise par des malfrats à Wassadou depuis le début de cette année. Les habitants ont eu à organiser des cérémonies de lecture de coran, des marches de protestation, sollicités les prières des guides religieux, ils ont même posé leur doléance au Chef de l’Etat. Mais jusque là, ils n’ont pas encore obtenu gain de cause. Ce, face à cette insécurité qui dénoncent les habitants, est en train de bloquer la commune et ses alentours.
Pis, aucun boutiquier ou propriétaire de magasin de la zone ne peut ouvrir les portes ses portes, au-delà de 19 heures, de peur de se faire agressé. Pour rayer cette insécurité qui hante leur sommeil, les populations de Wassadou, livre la Rfm, ne demandent ni plus ni moins que le retour de la base militaire dans la zone.
Selon le témoignage d’une dame qui revenait des rizières, elle a aperçu des inconnus en possession d'armes. Cette attaque est la 25e du genre qui a été commise par des malfrats à Wassadou depuis le début de cette année. Les habitants ont eu à organiser des cérémonies de lecture de coran, des marches de protestation, sollicités les prières des guides religieux, ils ont même posé leur doléance au Chef de l’Etat. Mais jusque là, ils n’ont pas encore obtenu gain de cause. Ce, face à cette insécurité qui dénoncent les habitants, est en train de bloquer la commune et ses alentours.
Pis, aucun boutiquier ou propriétaire de magasin de la zone ne peut ouvrir les portes ses portes, au-delà de 19 heures, de peur de se faire agressé. Pour rayer cette insécurité qui hante leur sommeil, les populations de Wassadou, livre la Rfm, ne demandent ni plus ni moins que le retour de la base militaire dans la zone.
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