L’ouverture officielle de la cérémonie a commencé à 11 heures par le discours de l’entrepreneur, le chef dudit établissement, Monsieur Diop, qui a fait une brève présentation de l’ISEG avant de passer la parole au conférencier Ibrahima Niang, Consultant.
M. Diop à fait savoir que l’ISEG a une reconnaissance internationale des diplômes par des universités et Grandes écoles européennes avec l’Espagne, le Portugal, la France, le Luxembourg, l’Italie, la Roumanie… dans la bouche de M. Diop, «l’ISEG est le premier établissement agrée par l’Etat depuis 1996 sous le N° 216/DES/MEN du 17 janvier 1996 ». Il a aussi souligné que l’ISEG participe au programme mobile des étudiants et des enseignants de Erasmus Mundus Intra ACP et Européen. « Actuellement l’ISEG a plus de 28 étudiants qui sont en mobilité dans les universités européennes. Il est aussi reconnu par le Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur avec 11 parcours.
Le consultant, conférencier, Ibrahima Niang a évoqué le concept de leadership, qu’est ce que c’est un leader, un vrai leader et un grand leader. Il s’est appesanti sur un leader d’influence positive. Qu’il a différencié des autres leaderships tel un leader de position, que les gens doivent suivre parce qu’il a une position d’autorité, un leader politique tel que le Président de la République ou un ministre que les gens suivent parce qu’il a un pouvoir de sanctionner ou de récompenser ses employés, un leader militaire, par exemple quelqu’un qui est dans l’armée et les soldats doivent suivre parce qu’il a le pouvoir.
Selon Monsieur Niang le leader d’influence positive c’est ce papa, cette maman, ce chef d’entreprise que les gens suivent non pas parce qu’il a un bâton pour sanctionner ou une carotte pour récompenser, mais celui ou celle que les gens suivent parce qu’il a des qualités qui font que les gens le suivent, veulent le ressembler. « Un leader d’influence positive, même s’il perd son statut social, les gens le saluent avec deux mains, cherchent à être comme lui. Dans les familles, les entreprises, les gouvernements, nous avons un manque de leadership », a-t-il certifié.
Dans sa conférence, Ibrahima Niang a fait savoir que le problème n’est pas un problème de compétence, mais un problème d’homme, la qualité humaine des personnes qui dirigent. « Il faut changer la carte mentale des gens pour qu’il puisse devenir de vrai leader d’influence positive ».
A 14 heures c'était la récompense des finalistes d’équipes de foot-ball et de basket. Ils ont reçu une enveloppe de 500 000 F CFA, et également des diplômes de reconnaissance ont été remis aux parents qui ont pris part à la manifestation. Après une pause déjeuner la cérémonie s’est poursuite avec les discours des différents représentants des campus et clubs, de la présentation des talents cachés de l’ISEG, des différentes nationalités, de la présentation des artistes et l’élection des misses. Suivez les vidéos:
M. Diop à fait savoir que l’ISEG a une reconnaissance internationale des diplômes par des universités et Grandes écoles européennes avec l’Espagne, le Portugal, la France, le Luxembourg, l’Italie, la Roumanie… dans la bouche de M. Diop, «l’ISEG est le premier établissement agrée par l’Etat depuis 1996 sous le N° 216/DES/MEN du 17 janvier 1996 ». Il a aussi souligné que l’ISEG participe au programme mobile des étudiants et des enseignants de Erasmus Mundus Intra ACP et Européen. « Actuellement l’ISEG a plus de 28 étudiants qui sont en mobilité dans les universités européennes. Il est aussi reconnu par le Conseil Africain et Malgache pour l’Enseignement Supérieur avec 11 parcours.
Le consultant, conférencier, Ibrahima Niang a évoqué le concept de leadership, qu’est ce que c’est un leader, un vrai leader et un grand leader. Il s’est appesanti sur un leader d’influence positive. Qu’il a différencié des autres leaderships tel un leader de position, que les gens doivent suivre parce qu’il a une position d’autorité, un leader politique tel que le Président de la République ou un ministre que les gens suivent parce qu’il a un pouvoir de sanctionner ou de récompenser ses employés, un leader militaire, par exemple quelqu’un qui est dans l’armée et les soldats doivent suivre parce qu’il a le pouvoir.
Selon Monsieur Niang le leader d’influence positive c’est ce papa, cette maman, ce chef d’entreprise que les gens suivent non pas parce qu’il a un bâton pour sanctionner ou une carotte pour récompenser, mais celui ou celle que les gens suivent parce qu’il a des qualités qui font que les gens le suivent, veulent le ressembler. « Un leader d’influence positive, même s’il perd son statut social, les gens le saluent avec deux mains, cherchent à être comme lui. Dans les familles, les entreprises, les gouvernements, nous avons un manque de leadership », a-t-il certifié.
Dans sa conférence, Ibrahima Niang a fait savoir que le problème n’est pas un problème de compétence, mais un problème d’homme, la qualité humaine des personnes qui dirigent. « Il faut changer la carte mentale des gens pour qu’il puisse devenir de vrai leader d’influence positive ».
A 14 heures c'était la récompense des finalistes d’équipes de foot-ball et de basket. Ils ont reçu une enveloppe de 500 000 F CFA, et également des diplômes de reconnaissance ont été remis aux parents qui ont pris part à la manifestation. Après une pause déjeuner la cérémonie s’est poursuite avec les discours des différents représentants des campus et clubs, de la présentation des talents cachés de l’ISEG, des différentes nationalités, de la présentation des artistes et l’élection des misses. Suivez les vidéos:
Autres articles
-
Guinée Conakry: la Compagnie Air Sénégal poursuivie pour escroquerie et abus de confiance
-
Ségoto-Kédougou : un site d’orpaillage clandestin démantelé par les forces armées
-
Les médecins en spécialisation annoncent une nouvelle demande de marche et lancent un appel à la satisfaction des revendications
-
Université de Ziguinchor : affrontements entre étudiants et forces de l'ordre, plusieurs véhicules incendiés et des blessés signalés
-
Sénégal : sur les 136 écoles de formation en sciences de la santé, seules 73 disposent d’une autorisation d'ouverture ( Rapport)