
Moustapha Diakhaté, ancien président du groupe parlementaire de la coalition Benno Bokk Yakaar, comparaît ce jeudi 28 novembre en flagrant délit. Placé sous mandat de dépôt lundi soir, à l’issue de son audition par le procureur, l’ancien député assume pleinement ses déclarations controversées.
Au cœur de la polémique, une expression qu’il a utilisée, "Askan bou alkou", qu’il a expliqué comme une référence aux "électeurs dupés".
Interpellé sur la portée de ses propos, Moustapha Diakhaté a maintenu fermement sa position, rejetant toute idée de rétractation.
"Je ne reviendrai pas sur mes propos", a-t-il affirmé au enquêteurs tout en soulignant qu’il ne se considère pas responsable de la viralité de ses déclarations sur les réseaux sociaux.
Au cœur de la polémique, une expression qu’il a utilisée, "Askan bou alkou", qu’il a expliqué comme une référence aux "électeurs dupés".
Interpellé sur la portée de ses propos, Moustapha Diakhaté a maintenu fermement sa position, rejetant toute idée de rétractation.
"Je ne reviendrai pas sur mes propos", a-t-il affirmé au enquêteurs tout en soulignant qu’il ne se considère pas responsable de la viralité de ses déclarations sur les réseaux sociaux.
Autres articles
-
La conférence internationale sur la Palestine à laquelle doit participer le Président Diomaye Faye à New York est reportée
-
Diama : le président Diomaye Faye inspecte un casier agricole du projet de développement rural de Savoigne
-
Installation confirmée de l’hivernage à Tambacounda, selon la météorologie
-
Drame à Manchester : deux mineurs placés en détention après le meurtre d'Ibrahima Seck
-
Drame à Ziguinchor : un homme retrouvé pendu à Sangomar 2