Daher Ahmed Farah, porte-parole de la coalition de l'opposition djiboutienne, l'Union pour le salut national (USN), arrêté le 4 mars 2013.
Arrêté le 4 mars sur la base d'écoutes téléphoniques estimées illégales par la défense, il a été jugé coupable d'appel à la rébellion à la suite des législatives contestées de février 2013. Deux autres personnes étaient poursuivies dans ce même dossier. L'un d'eux a été condamné à de la prison avec sursis, l'autre a été relaxé. Pour les avocats de Dareh Ahmed Farah, cette condamnation est inacceptable. Ceux-ci ont ainsi décidé de faire appel. A la Ligue djiboutienne des droits humains, personne n'est surpris par la condamnation, étant donné le contexte politique trés crispé à Djibouti. C'est le sentiment d'Oussein Ahmed Farah, membre de l'organisation qui s'exprime au micro de Christine Muratet.
Souce : Rfi.fr
Souce : Rfi.fr
Autres articles
-
Haïti convoque l'ambassadeur de France après les propos «inacceptables» d'Emmanuel Macron
-
Mali: le général de division Abdoulaye Maïga nommé Premier ministre de transition
-
Syrie: 68 morts dans les frappes israéliennes contre des groupes pro-iraniens à Palmyre (nouveau bilan)
-
États-Unis: Elon Musk détaille son «projet» de réforme de l'État dans le «Wall Street Journal»
-
Egypte: une loi sur les réfugiés adoptée par le Parlement