L’Enquête Démographique et de Santé (EDS) continue de 2016 a révélé une baisse de la mortalité infanto –juvénile. Aujourd’hui, notre pays en est à 51 pour 1000 naissances vivantes. Le nombre d’enfants est de 4,7 pour les femmes en âge de procréer, une réduction qui s’explique par un taux acceptable d’utilisation de moyens contraceptifs.
20 points ont été gagnés en dix (10) dans la lutte contre la mortalité infanto-juvénile, selon le Directeur de l’Agence Nationale de la Statistique et de la Démographie (ANSD).
« C’est la première fois au Sénégal que nous descendons de la moyenne de cinq (5) enfants par femmes en âge de procréer, (15-49 ans). L’enquête de cette année montre que nous sommes, en moyenne, à 4,7 enfants par femme. Dans le domaine de la mortalité infanto-juvénile, il y a eu des progrès énormes. On est à 51 % pour 1000 naissances alors qu’il y a juste dix (10) ans, on était à 70. Sur la prévalence à la contraception, il y a eu beaucoup de progrès aussi. Nous sommes à 25 %. C’est très bien (car) il n’y a pas très longtemps, on était à huit (8)», exulte Aboubacar Beye, sur la Rfm.
Dans le domaine de l’excision, c’est tout autre chose. « On a à peu près 23 % des femmes (15-49 ans) qui l’ont subi. C’est beaucoup et ce sont des choses sur lesquelles il faudra travailler », sert-il.
20 points ont été gagnés en dix (10) dans la lutte contre la mortalité infanto-juvénile, selon le Directeur de l’Agence Nationale de la Statistique et de la Démographie (ANSD).
« C’est la première fois au Sénégal que nous descendons de la moyenne de cinq (5) enfants par femmes en âge de procréer, (15-49 ans). L’enquête de cette année montre que nous sommes, en moyenne, à 4,7 enfants par femme. Dans le domaine de la mortalité infanto-juvénile, il y a eu des progrès énormes. On est à 51 % pour 1000 naissances alors qu’il y a juste dix (10) ans, on était à 70. Sur la prévalence à la contraception, il y a eu beaucoup de progrès aussi. Nous sommes à 25 %. C’est très bien (car) il n’y a pas très longtemps, on était à huit (8)», exulte Aboubacar Beye, sur la Rfm.
Dans le domaine de l’excision, c’est tout autre chose. « On a à peu près 23 % des femmes (15-49 ans) qui l’ont subi. C’est beaucoup et ce sont des choses sur lesquelles il faudra travailler », sert-il.
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