Mohamed Brahmi en 2012. REUTERS/Mohamed Amine ben Aziza
Taïeb Laguili
Porte-parole de l'association Initiative pour la recherche de la vérité sur l'assassinat de Chokri Belaïd (IRVA)
Nous les considérons comme responsables, qu'ils aient reçu l'information ou pas.
Autres articles
-
Haïti convoque l'ambassadeur de France après les propos «inacceptables» d'Emmanuel Macron
-
Mali: le général de division Abdoulaye Maïga nommé Premier ministre de transition
-
Syrie: 68 morts dans les frappes israéliennes contre des groupes pro-iraniens à Palmyre (nouveau bilan)
-
États-Unis: Elon Musk détaille son «projet» de réforme de l'État dans le «Wall Street Journal»
-
Egypte: une loi sur les réfugiés adoptée par le Parlement