Ils étaient près de 2 000 manifestants au départ de la marche, près de l’aéroport Osvaldo Vieira. Moins de 500 sont arrivés au point de chute, à quelques centaines de mètres du palais présidentiel.
L’imposant dispositif de sécurité déployé dans toutes les rues qui jouxtent le palais a fini par décourager plusieurs d’entre eux. Les plus déterminés ont bravé le premier cordon policier, scandant des propos hostiles au président José Mário Vaz.
Ils ont brûlé des pneus et jeté des projectiles, suscitant la colère des éléments de la garde nationale qui les ont dispersés à coups de matraque et de gaz lacrymogènes. Plusieurs manifestants dont un député du PAIGC ont été sérieusement malmenés.
Pour Sana Canté, le coordinateur du Mouvement des citoyens, conscient et non accommodé à la situation, la lutte ne fait que commencer. « Nous viendrons très déterminés pour faire face aux interventions de la police dans les prochaines manifestations. Ces rassemblements vont se poursuivre », a-t-il ainsi prévenu.
L’imposant dispositif de sécurité déployé dans toutes les rues qui jouxtent le palais a fini par décourager plusieurs d’entre eux. Les plus déterminés ont bravé le premier cordon policier, scandant des propos hostiles au président José Mário Vaz.
Ils ont brûlé des pneus et jeté des projectiles, suscitant la colère des éléments de la garde nationale qui les ont dispersés à coups de matraque et de gaz lacrymogènes. Plusieurs manifestants dont un député du PAIGC ont été sérieusement malmenés.
Pour Sana Canté, le coordinateur du Mouvement des citoyens, conscient et non accommodé à la situation, la lutte ne fait que commencer. « Nous viendrons très déterminés pour faire face aux interventions de la police dans les prochaines manifestations. Ces rassemblements vont se poursuivre », a-t-il ainsi prévenu.
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