Le ruban rouge est coupé, le centre officiellement inauguré sous les applaudissements. Ce centre situé à une soixantaine de kilomètres du poste frontière congolais de Mpondwe a pour vocation d'accueillir le nouveau mécanisme conjoint de suivi.
« Le mécanisme conjoint de suivi est un instrument de la conférence internationale de la région des Grands Lacs, explique Zachary Muburi-Muita, secrétaire exécutif de la CIRGL. C'est une décision des chefs d'Etat de la CIRGL qui ont chargé les ministres de la Défense d'établir un sous-comité qui comprend la RDC, l'Ouganda, la Tanzanie et le Kenya ; ceci dans le but de mettre en place un centre de renseignement militaire ici, afin de surveiller les activités des ADF pour agir de manière proactive. »
Pour le porte-parole de l'armée ougandaise, Richard Karemire, il s'agit d'être plus efficace dans la lutte contre cette rébellion : « Chaque Etat membre va mettre à disposition 2 officiers qui ont une expérience dans le renseignement. Ils travailleront ensemble et pour l'instant l'Ouganda sera à la tête de cette équipe. Ainsi nous espérons être mieux informés afin de mener des opérations efficaces contre les ADF. Quels sont les facteurs qui font que les ADF continuent d’être actifs dans la région ? C'est l'une des questions clés que nous souhaitons voir démêler par ce centre. »
Un budget initial de 600 000 dollars est prévu pour lancer le travail de ce nouveau mécanisme.
« Le mécanisme conjoint de suivi est un instrument de la conférence internationale de la région des Grands Lacs, explique Zachary Muburi-Muita, secrétaire exécutif de la CIRGL. C'est une décision des chefs d'Etat de la CIRGL qui ont chargé les ministres de la Défense d'établir un sous-comité qui comprend la RDC, l'Ouganda, la Tanzanie et le Kenya ; ceci dans le but de mettre en place un centre de renseignement militaire ici, afin de surveiller les activités des ADF pour agir de manière proactive. »
Pour le porte-parole de l'armée ougandaise, Richard Karemire, il s'agit d'être plus efficace dans la lutte contre cette rébellion : « Chaque Etat membre va mettre à disposition 2 officiers qui ont une expérience dans le renseignement. Ils travailleront ensemble et pour l'instant l'Ouganda sera à la tête de cette équipe. Ainsi nous espérons être mieux informés afin de mener des opérations efficaces contre les ADF. Quels sont les facteurs qui font que les ADF continuent d’être actifs dans la région ? C'est l'une des questions clés que nous souhaitons voir démêler par ce centre. »
Un budget initial de 600 000 dollars est prévu pour lancer le travail de ce nouveau mécanisme.
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