La session s’est conclue sur une note d’optimisme, portée par la signature de plusieurs projets d’accords, perçus comme un levier stratégique pour renforcer et diversifier les relations entre les deux pays. « L’Afrique du Sud et le Sénégal sont deux pays frères, unis par des idéaux communs de paix, de développement, de bonne gouvernance et de respect des droits humains », a déclaré la ministre sénégalaise de l’Intégration africaine et des Affaires étrangères, Yassine Fall.
Elle a salué les « avancées significatives » obtenues au cours des discussions, évoquant notamment la finalisation d’accords dans des secteurs stratégiques tels que l’énergie, les hydrocarbures, l’enseignement supérieur, l’exploitation minière, ou encore la lutte contre la double imposition.
Un forum économique, tenu en parallèle des travaux, a également favorisé le dialogue entre les secteurs privés sénégalais et sud-africains. Selon la ministre, ces échanges augurent d’un partenariat fructueux à long terme. « Nos travaux ont permis de formuler de fortes recommandations, notamment sur la mise en œuvre effective des accords déjà signés et la création d’un mécanisme annuel de suivi-évaluation », a-t-elle ajouté, soulignant la volonté commune de renforcer l’axe Pretoria-Dakar.
Son homologue sud-africain, Ronald Lamola, ministre des Relations internationales et de la Coopération, a lui aussi salué les progrès réalisés. Il a insisté sur l’importance du cadre créé par cette commission pour identifier les priorités de coopération future. « Le forum des affaires est une opportunité majeure pour les entrepreneurs de nos deux pays. Nous devons garantir un environnement stable et prévisible pour favoriser les échanges et les investissements », a-t-il déclaré.
Le ministre sud-africain a par ailleurs invité les opérateurs économiques sénégalais à explorer davantage les opportunités offertes par son pays, rappelant que l’Afrique du Sud demeure ouverte aux affaires.
Elle a salué les « avancées significatives » obtenues au cours des discussions, évoquant notamment la finalisation d’accords dans des secteurs stratégiques tels que l’énergie, les hydrocarbures, l’enseignement supérieur, l’exploitation minière, ou encore la lutte contre la double imposition.
Un forum économique, tenu en parallèle des travaux, a également favorisé le dialogue entre les secteurs privés sénégalais et sud-africains. Selon la ministre, ces échanges augurent d’un partenariat fructueux à long terme. « Nos travaux ont permis de formuler de fortes recommandations, notamment sur la mise en œuvre effective des accords déjà signés et la création d’un mécanisme annuel de suivi-évaluation », a-t-elle ajouté, soulignant la volonté commune de renforcer l’axe Pretoria-Dakar.
Son homologue sud-africain, Ronald Lamola, ministre des Relations internationales et de la Coopération, a lui aussi salué les progrès réalisés. Il a insisté sur l’importance du cadre créé par cette commission pour identifier les priorités de coopération future. « Le forum des affaires est une opportunité majeure pour les entrepreneurs de nos deux pays. Nous devons garantir un environnement stable et prévisible pour favoriser les échanges et les investissements », a-t-il déclaré.
Le ministre sud-africain a par ailleurs invité les opérateurs économiques sénégalais à explorer davantage les opportunités offertes par son pays, rappelant que l’Afrique du Sud demeure ouverte aux affaires.
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