«Les libéraux de Saint-Louis, sous la houlette du frère Mayoro Faye exprime leur indignation face à cette volonté manifeste du régime en place de museler l’opposition en général et particulièrement le PDS, première formation politique au Sénégal. Le préfet de Saint-Louis vient d’interdire, pour la seconde fois en une semaine, des manifestations pacifique de notre parti. En effet, notre déclaration pour une marche prévue ce samedi 28 mars 2015 dans le faubourg de Sor a été tout simplement interdite. Nous avions retenu comme itinéraire, le rond-point du commissariat central de Sor pour ensuite enjamber l’avenue du Général Degaulle pour terminer par la place Abdoulaye WADE ou une déclaration devrait être faite.
Nous attendions de l’autorité administrative un simple encadrement par les forces de l’ordre déjà très visibles partout à travers les artères de la vielle ville. C’est pourquoi nous sommes étonnés aujourd’hui de relever parmi les motifs avances par le préfet pour motiver sa décision, le manque d’effectif », ouvrent les libéraux. Avant de poursuivre : «Parmi les motifs évoqués figure également la non indication de l’objet de la marche. Ceci constitue une véritable aberration car nous avons clairement indiqué devant l’officier de police enquêteur que l’objet de la manifestation tournait autour de quatre points: la lutte contre une justice sélective, une justice à double vitesse, le recul démocratique au Sénégal et la confiscation des libertés individuelles et collectives».
Selon eux, «la notification évoquait aussi des risques d’affrontement de groupes opposés et enfin le risque de trouble à l’ordre public ». Ce, alors que «pour ces deux motifs aussi, nous considérons que ce sont des arguments fallacieux dont les motivations sont purement politiciennes ». «Nous interpellons, ainsi, le régime de Macky Sall sur l’impérieuse nécessité d’instaurer de par les actes qu’il pose un climat de sérénité et de responsabilité. L’interdiction systématique des manifestations du PDS au plan national comme au plan local, à Saint-Louis, n’émousse en rien l’élan combatif des militantes et des militants libéraux.
Au contraire, cette attitude anti- républicaine et anti-démocratique de ceux qui nous gouvernent motive davantage notre engagement et notre détermination à faire face », chargent ces derniers qui réitèrent leur «désapprobation à la CREI et à son verdict politique, leur volonté à défendre le choix porté sur la personne de Karim WADE qui reste et demeure notre seul et unique candidat à la prochaine élection présidentielle». «Aujourd’hui, Macky Sall et son régime nageant dans des difficultés politiques, socioéconomiques et judiciaires n’ont trouvé d’autres moyens pour prétendre à une réélection que de vouloir briser tout adversaire politiquement encombrant.
D’ailleurs, ils ont commencé par faire table rase au niveau de leur alliés, en leur demandant de ne pas présenter un candidat et de soutenir celui de l’APR, Macky SALL. C’est dans ce même esprit qu’ils se livrent à une tentative de destruction et de déstabilisation de l’opposition. Et dans cette tentative, Karim WADE représente leur première cible », martèlent les libéraux qui dénoncent vigoureusement «les arrestations arbitraires ainsi que celles appelées préventives dont le seul but est de tenir en bride le PDS, ses responsables et ses alliés.
Ils demandent «aux militants du parti, aux sénégalais épris de paix et de justice, aux leaders d’opinion religieux, politiques et coutumiers ainsi qu’aux organisations de défense des droits de l’homme à se lever pour dire NON aux multiples dérives du régime en place ». Marquant leur satisfaction au frère, coordonnateur et au Secrétaire General National, Me Abdoulaye WADE pour «l’organisation parfaite d’un processus démocratique et transparent qui a abouti au choix du frère Karim Meissa WADE ».
Nous attendions de l’autorité administrative un simple encadrement par les forces de l’ordre déjà très visibles partout à travers les artères de la vielle ville. C’est pourquoi nous sommes étonnés aujourd’hui de relever parmi les motifs avances par le préfet pour motiver sa décision, le manque d’effectif », ouvrent les libéraux. Avant de poursuivre : «Parmi les motifs évoqués figure également la non indication de l’objet de la marche. Ceci constitue une véritable aberration car nous avons clairement indiqué devant l’officier de police enquêteur que l’objet de la manifestation tournait autour de quatre points: la lutte contre une justice sélective, une justice à double vitesse, le recul démocratique au Sénégal et la confiscation des libertés individuelles et collectives».
Selon eux, «la notification évoquait aussi des risques d’affrontement de groupes opposés et enfin le risque de trouble à l’ordre public ». Ce, alors que «pour ces deux motifs aussi, nous considérons que ce sont des arguments fallacieux dont les motivations sont purement politiciennes ». «Nous interpellons, ainsi, le régime de Macky Sall sur l’impérieuse nécessité d’instaurer de par les actes qu’il pose un climat de sérénité et de responsabilité. L’interdiction systématique des manifestations du PDS au plan national comme au plan local, à Saint-Louis, n’émousse en rien l’élan combatif des militantes et des militants libéraux.
Au contraire, cette attitude anti- républicaine et anti-démocratique de ceux qui nous gouvernent motive davantage notre engagement et notre détermination à faire face », chargent ces derniers qui réitèrent leur «désapprobation à la CREI et à son verdict politique, leur volonté à défendre le choix porté sur la personne de Karim WADE qui reste et demeure notre seul et unique candidat à la prochaine élection présidentielle». «Aujourd’hui, Macky Sall et son régime nageant dans des difficultés politiques, socioéconomiques et judiciaires n’ont trouvé d’autres moyens pour prétendre à une réélection que de vouloir briser tout adversaire politiquement encombrant.
D’ailleurs, ils ont commencé par faire table rase au niveau de leur alliés, en leur demandant de ne pas présenter un candidat et de soutenir celui de l’APR, Macky SALL. C’est dans ce même esprit qu’ils se livrent à une tentative de destruction et de déstabilisation de l’opposition. Et dans cette tentative, Karim WADE représente leur première cible », martèlent les libéraux qui dénoncent vigoureusement «les arrestations arbitraires ainsi que celles appelées préventives dont le seul but est de tenir en bride le PDS, ses responsables et ses alliés.
Ils demandent «aux militants du parti, aux sénégalais épris de paix et de justice, aux leaders d’opinion religieux, politiques et coutumiers ainsi qu’aux organisations de défense des droits de l’homme à se lever pour dire NON aux multiples dérives du régime en place ». Marquant leur satisfaction au frère, coordonnateur et au Secrétaire General National, Me Abdoulaye WADE pour «l’organisation parfaite d’un processus démocratique et transparent qui a abouti au choix du frère Karim Meissa WADE ».
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