Le collectif des lycées de Dakar, lors de son point de presse de samedi dernier au lycée des Parcelles Assainies, a lancé un appel solennel au gouvernement lui demandant de retirer les propos tenus par le ministre de l'Education. Mouhamed Kouyaté Coordonnateur des lycées de Dakar a déclaré : «qu'il n'y a aucune solution en vue pour sauver l'année». Il a estimé que les propositions faites dernièrement par le ministre ne sont pas du tout sérieuses.
Car, dit-il, il nous a proposé de continuer les cours jusqu'au 31 juillet. C'est après quoi que nous aurons un mois de vacances. En fait nous, nous ne sommes pas en quête de temps de repos mais en quête de quantum horaire .Nous ne comprenons pas comment on peut nous demander de reprendre les cours tout en sachant que nous n'aurons pas le temps de terminer tout le programme». Selon le porte-parole du collectif du lycée «Notre combat a débuté depuis le mois de mars». Et d'ajouter «nous avons étudié la solution proposée mais nous avons trouvé qu'elle n'était pas adéquate pour l'ensemble des lycées du Sénégal».
Le porte-parole du collectif des lycées de Dakar de se demander d'ailleurs si en avançant ses propositions le ministre de l'éducation a tenu compte de la situation du Cadre unitaire du syndicat des enseignants du Moyen Secondaire (CUSEMS) dont le mot d'ordre n'a été en fait été suspendu que jusqu'au 31 mai . Une date au-delà de laquelle rien ne garantit que les professeurs ne vont-ils pas reconduire leur mot d'ordre.
Il a estimé même absurde d'entendre parler de l'orientation des élèves qui n'ont pas encore tenu leurs examens. Dans sa conclusion, il a demandé aux autorités de faire des propositions qui recoupent les préoccupations de tous les acteurs.
Avec Sudonline
Car, dit-il, il nous a proposé de continuer les cours jusqu'au 31 juillet. C'est après quoi que nous aurons un mois de vacances. En fait nous, nous ne sommes pas en quête de temps de repos mais en quête de quantum horaire .Nous ne comprenons pas comment on peut nous demander de reprendre les cours tout en sachant que nous n'aurons pas le temps de terminer tout le programme». Selon le porte-parole du collectif du lycée «Notre combat a débuté depuis le mois de mars». Et d'ajouter «nous avons étudié la solution proposée mais nous avons trouvé qu'elle n'était pas adéquate pour l'ensemble des lycées du Sénégal».
Le porte-parole du collectif des lycées de Dakar de se demander d'ailleurs si en avançant ses propositions le ministre de l'éducation a tenu compte de la situation du Cadre unitaire du syndicat des enseignants du Moyen Secondaire (CUSEMS) dont le mot d'ordre n'a été en fait été suspendu que jusqu'au 31 mai . Une date au-delà de laquelle rien ne garantit que les professeurs ne vont-ils pas reconduire leur mot d'ordre.
Il a estimé même absurde d'entendre parler de l'orientation des élèves qui n'ont pas encore tenu leurs examens. Dans sa conclusion, il a demandé aux autorités de faire des propositions qui recoupent les préoccupations de tous les acteurs.
Avec Sudonline
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