L’African Media Initiative a organisé à Tunis la semaine dernière le Forum des Leaders de Médias d’Afrique avec « la participation record de 350 personnes venant de 48 pays africains » autour du thème: quel avenir pour les média traditionnels ? Charlayne Hunter-Gault et Trevor Ncube, Co-présidents de l’African Media Initiative (AMI) parlent du choix de la Tunisie à travers un communiqué, « notre choix de la Tunisie pour l’organisation de la quatrième édition de notre programme phare a été dicté par la claire intention d’exploiter positivement la Révolution du Jasmin, survenue en Tunisie, pour améliorer notre programme visant à révolutionner la gestion des médias en Afrique. Les médias sociaux ont joué un rôle éminemment important dans les développements extraordinaires qui ont déclenché le Printemps arabe… ».
Au-delà « de rendre hommage à des citoyens ordinaires dont le courage et la farouche détermination à avoir leur mot à dire dans la manière dont ils étaient gouvernés, ont été le déclic d’une révolution visant à restaurer la justice et l’obligation de rendre compte », il s’agit aussi de développer « des projets concrets qui rapprocheraient l’AMI de la réalisation de l’objectif de développement d’un secteur des medias qui aiderait les citoyens à opérer les changements sociaux, économiques et politiques nécessaires, au nombre desquels la non moins importante nécessité d’obliger leurs dirigeants à rendre compte ».
Mais une chose fondamentale dans ce vaste chantier c’est que « la Déclaration de Tunis de l’AMLF souligne la nécessité de poursuivre la concentration sur l’amélioration du professionnalisme, de la gestion, des contenus et de l’opportunité des reportages en exploitant les forces des innovations technologiques dans le secteur des médias » en rappelant aussi « les principes fondamentaux de l’AMI qui sont ceux de l’éthique et du leadership moral ».
Au-delà « de rendre hommage à des citoyens ordinaires dont le courage et la farouche détermination à avoir leur mot à dire dans la manière dont ils étaient gouvernés, ont été le déclic d’une révolution visant à restaurer la justice et l’obligation de rendre compte », il s’agit aussi de développer « des projets concrets qui rapprocheraient l’AMI de la réalisation de l’objectif de développement d’un secteur des medias qui aiderait les citoyens à opérer les changements sociaux, économiques et politiques nécessaires, au nombre desquels la non moins importante nécessité d’obliger leurs dirigeants à rendre compte ».
Mais une chose fondamentale dans ce vaste chantier c’est que « la Déclaration de Tunis de l’AMLF souligne la nécessité de poursuivre la concentration sur l’amélioration du professionnalisme, de la gestion, des contenus et de l’opportunité des reportages en exploitant les forces des innovations technologiques dans le secteur des médias » en rappelant aussi « les principes fondamentaux de l’AMI qui sont ceux de l’éthique et du leadership moral ».
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