
Le ministre de la Santé et de l’Action sociale, Ibrahima Sy, alerte sur l’urgence de renforcer la lutte contre les maladies non transmissibles.
« Les maladies non transmissibles, telles que les maladies cardiovasculaires, le rhumatisme, le diabète, le cancer, l’insuffisance veineuse, les maladies respiratoires chroniques constituent aujourd’hui une menace sérieuse pour notre population et notre système de santé ». Il s'exprimait, ce jeudi, à l’ouverture du troisième congrès international de la Société africaine de rhumatologie (SARH).
Il a rappelé l’urgence de renforcer la lutte contre les maladies non transmissibles qui constituent une menace croissante pour la santé publique. « Leur impact est d’autant plus préoccupant qu’elles affectent des personnes de tous âges, réduisant l’espérance de vie et engendrant des coûts économiques extrêmement élevés pour notre société. 53% des décès enregistrés au Sénégal sont liés à ces pathologies », a- t-il alerté.
Selon l’OMS, ces maladies sont responsables de 74% des décès dans le monde.
Le ministre a souligné que « ces maladies évoluent de façon inquiétante en raison de plusieurs facteurs, notamment héréditaires, comportementaux et environnementaux. D’où l’importance de rencontres scientifiques, comme ce congrès, qui permettent de partager les connaissances et d’améliorer la formation des médecins ainsi que la prise en charge des patients ».
Il a par ailleurs annoncé que son département explore la mise en place d’un centre de prise en charge intégrée des maladies non transmissibles, afin d’offrir aux patients un parcours thérapeutique plus efficace et mieux structuré, rapporte l’APS.
« Les maladies non transmissibles, telles que les maladies cardiovasculaires, le rhumatisme, le diabète, le cancer, l’insuffisance veineuse, les maladies respiratoires chroniques constituent aujourd’hui une menace sérieuse pour notre population et notre système de santé ». Il s'exprimait, ce jeudi, à l’ouverture du troisième congrès international de la Société africaine de rhumatologie (SARH).
Il a rappelé l’urgence de renforcer la lutte contre les maladies non transmissibles qui constituent une menace croissante pour la santé publique. « Leur impact est d’autant plus préoccupant qu’elles affectent des personnes de tous âges, réduisant l’espérance de vie et engendrant des coûts économiques extrêmement élevés pour notre société. 53% des décès enregistrés au Sénégal sont liés à ces pathologies », a- t-il alerté.
Selon l’OMS, ces maladies sont responsables de 74% des décès dans le monde.
Le ministre a souligné que « ces maladies évoluent de façon inquiétante en raison de plusieurs facteurs, notamment héréditaires, comportementaux et environnementaux. D’où l’importance de rencontres scientifiques, comme ce congrès, qui permettent de partager les connaissances et d’améliorer la formation des médecins ainsi que la prise en charge des patients ».
Il a par ailleurs annoncé que son département explore la mise en place d’un centre de prise en charge intégrée des maladies non transmissibles, afin d’offrir aux patients un parcours thérapeutique plus efficace et mieux structuré, rapporte l’APS.
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