Au cours de cette visite, le ministre a salué les avancées notables du secteur industriel sénégalais tout en réaffirmant les ambitions du gouvernement en matière de souveraineté alimentaire. « L’industrie sénégalaise est sur une bonne dynamique. Nous veillons à la disponibilité de tous les produits alimentaires, notamment en cette période de Ramadan et de Carême », a-t-il déclaré, soulignant la volonté de l’État d'accompagner les entreprises locales pour garantir un approvisionnement stable et sécurisé.
Dans cette optique, le gouvernement a annoncé un objectif ambitieux : augmenter la part de l’industrie dans le PIB national, actuellement évaluée à 24 %, pour atteindre 35 % d’ici 2035. Plusieurs initiatives structurantes sont déjà en cours pour atteindre cet objectif, telles que la création de nouvelles zones industrielles à Touba (420 hectares) et à Matam, ainsi que le développement de huit nouveaux pôles industriels à travers le pays.
Parmi les mesures visant à renforcer la compétitivité des entreprises locales, Serigne Guèye Diop a évoqué la réduction du coût de l’énergie, l’allègement des taxes et la détaxation des intrants essentiels, comme les améliorants pour le pain. « Nous travaillons avec le ministère des Finances pour mettre en place des solutions adaptées aux besoins des industriels », a précisé le ministre.
Le soutien du gouvernement ne se limite pas aux entreprises alimentaires, mais inclut également les industries locales produisant des matériaux essentiels pour la transformation agroalimentaire, notamment les emballages. « Ces entreprises montrent la voie en fabriquant des produits que nous importions auparavant. Elles doivent être accompagnées pour renforcer notre souveraineté économique », a souligné Serigne Guèye Diop.
Dans un contexte de forte consommation, notamment pendant le Ramadan, des inquiétudes ont été exprimées concernant l'approvisionnement en produits de première nécessité. Le ministre a voulu rassurer la population en affirmant que la capacité de raffinage de près de 20 000 tonnes par jour permettait de garantir un approvisionnement suffisant en huile de palme. « Il n’y aura aucune tension sur l’huile de palme durant le Ramadan », a-t-il assuré. Il en est de même pour la production de farine et de pain, qui répondent à une demande accrue pendant cette période.
A terme, Serigne Guèye Diop a appelé à une collaboration renforcée avec le secteur privé pour relever le défi de la souveraineté alimentaire. « J’ai rencontré des industriels engagés, soucieux de l’avenir économique du pays. Nous allons les accompagner pour renforcer notre production nationale et réduire notre dépendance aux importations », a-t-il conclu. Ces engagements visent à faire de l'industrie un pilier central du Plan Sénégal 2050, avec une transformation structurelle du secteur agroalimentaire au service de la souveraineté économique et alimentaire du pays.
Dans cette optique, le gouvernement a annoncé un objectif ambitieux : augmenter la part de l’industrie dans le PIB national, actuellement évaluée à 24 %, pour atteindre 35 % d’ici 2035. Plusieurs initiatives structurantes sont déjà en cours pour atteindre cet objectif, telles que la création de nouvelles zones industrielles à Touba (420 hectares) et à Matam, ainsi que le développement de huit nouveaux pôles industriels à travers le pays.
Parmi les mesures visant à renforcer la compétitivité des entreprises locales, Serigne Guèye Diop a évoqué la réduction du coût de l’énergie, l’allègement des taxes et la détaxation des intrants essentiels, comme les améliorants pour le pain. « Nous travaillons avec le ministère des Finances pour mettre en place des solutions adaptées aux besoins des industriels », a précisé le ministre.
Le soutien du gouvernement ne se limite pas aux entreprises alimentaires, mais inclut également les industries locales produisant des matériaux essentiels pour la transformation agroalimentaire, notamment les emballages. « Ces entreprises montrent la voie en fabriquant des produits que nous importions auparavant. Elles doivent être accompagnées pour renforcer notre souveraineté économique », a souligné Serigne Guèye Diop.
Dans un contexte de forte consommation, notamment pendant le Ramadan, des inquiétudes ont été exprimées concernant l'approvisionnement en produits de première nécessité. Le ministre a voulu rassurer la population en affirmant que la capacité de raffinage de près de 20 000 tonnes par jour permettait de garantir un approvisionnement suffisant en huile de palme. « Il n’y aura aucune tension sur l’huile de palme durant le Ramadan », a-t-il assuré. Il en est de même pour la production de farine et de pain, qui répondent à une demande accrue pendant cette période.
A terme, Serigne Guèye Diop a appelé à une collaboration renforcée avec le secteur privé pour relever le défi de la souveraineté alimentaire. « J’ai rencontré des industriels engagés, soucieux de l’avenir économique du pays. Nous allons les accompagner pour renforcer notre production nationale et réduire notre dépendance aux importations », a-t-il conclu. Ces engagements visent à faire de l'industrie un pilier central du Plan Sénégal 2050, avec une transformation structurelle du secteur agroalimentaire au service de la souveraineté économique et alimentaire du pays.
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