La cérémonie d’investiture aura lieu dans la matinée, sous un chapiteau installé dans les jardins de l’hôtel King Fahd Palace, situé dans le quartier résidentiel des Almadies.
Le président élu, Macky Sall, a affirmé, dans un communiqué diffusé ce week-end, vouloir organiser une cérémonie dans « le strict cadre de la solennité républicaine et la sobriété requise par la situation du pays ».
Dans une interview accordée à RFI à la veille de sa victoire, Macky Sall s’était déjà dit décidé à incarner une rupture dans la gestion des affaires de l’Etat :
Macky Sall : «Nos divergences»
« Il y a une divergence fondamentale sur l'éthique de gestion, comment nous devons le bien public... ensuite sur le faste... je suis pour une gouvernance plutôt sobre et efficace... on va réduire la voilure mais en renforçant l'efficacité... »
Une quinzaine de chefs d'Etat présents pour l'événement
Il n’y aura donc pas de militants, ni de citoyens. En revanche, quinze chefs d’Etat africains font le déplacement pour assister à cet événement. Il s’agit notamment de l’Ivoirien Alassane Ouattara, du Congolais Denis Sassou Nguesso ou encore du Ghanéen John Atta-Mills. Alain Juppé, ministre des Affaires étrangères, représentera le gouvernement français.
Selon les règles du protocole d’Etat, Macky Sall prêtera serment devant les cinq sages du Conseil constitutionnel. Puis il se rendra au palais présidentiel, où il devra s’entretenir en privé avec le président sortant, Abdoulaye Wade, avant de procéder à la passation de pouvoir.
L'heure des bilans pour Abdoulaye Wade
Alors qu’Abdoulaye Wade cède la place à Macky Sall, quel bilan les Sénégalais font-ils de sa présidence ? Reportage à Dakar.
Avec RFI
Le président élu, Macky Sall, a affirmé, dans un communiqué diffusé ce week-end, vouloir organiser une cérémonie dans « le strict cadre de la solennité républicaine et la sobriété requise par la situation du pays ».
Dans une interview accordée à RFI à la veille de sa victoire, Macky Sall s’était déjà dit décidé à incarner une rupture dans la gestion des affaires de l’Etat :
Macky Sall : «Nos divergences»
« Il y a une divergence fondamentale sur l'éthique de gestion, comment nous devons le bien public... ensuite sur le faste... je suis pour une gouvernance plutôt sobre et efficace... on va réduire la voilure mais en renforçant l'efficacité... »
Une quinzaine de chefs d'Etat présents pour l'événement
Il n’y aura donc pas de militants, ni de citoyens. En revanche, quinze chefs d’Etat africains font le déplacement pour assister à cet événement. Il s’agit notamment de l’Ivoirien Alassane Ouattara, du Congolais Denis Sassou Nguesso ou encore du Ghanéen John Atta-Mills. Alain Juppé, ministre des Affaires étrangères, représentera le gouvernement français.
Selon les règles du protocole d’Etat, Macky Sall prêtera serment devant les cinq sages du Conseil constitutionnel. Puis il se rendra au palais présidentiel, où il devra s’entretenir en privé avec le président sortant, Abdoulaye Wade, avant de procéder à la passation de pouvoir.
L'heure des bilans pour Abdoulaye Wade
Alors qu’Abdoulaye Wade cède la place à Macky Sall, quel bilan les Sénégalais font-ils de sa présidence ? Reportage à Dakar.
Douze ans de pouvoir et un bilan contrasté « Ports, routes, ponts, échangeurs, aéroports, Abdoulaye Wade a beaucoup développé les infrastructures, surtout à Dakar nuancent certains… les infrastructures ne suffisent pas…. Et Abdoulaye n’a rien fait pour réduire les inégalités... » |
Avec RFI
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