La rencontre de Bissau, tenue cinq jours après le crash d’un Boeing 737 MAX de la compagnie éthiopienne a été une occasion de démontrer que, malgré ce drame, l’espace aérien communautaire reste tout de même sûr.
Pas de risque zéro
« Aucun pays dans ce monde ne peut se targuer d’avoir zéro incident ou être à l’abri des incidents », a déclaré Latta Dokisime Gnama, représentant du ministre togolais des Transports et lui-même pilote de ligne
Le risque zéro n’existe nulle part. Toutefois, certaines mesures de prévention permettant d’éviter des catastrophes s’imposent aux Etats et aux compagnies. Certains pays comme le Sénégal ont interdit les 737 MAX dans leur espace aérien.
« C’est le 737 MAX 8 et 9 qui est visé. Par exemple, Mauritanian Airlines qui en a un l’a cloué au sol mais sur la zone, il n’y en a pas tant que ça. Par contre, il y a des appareils de ce type appartenant à d’autres compagnies qui survolaient notre espace, Ethiopian bien sûr, Turkish, mais eux-mêmes ont suspendu les vols de ces appareils », a souligné Jean-François Desmazières, président du Conseil d’administration de la l’Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique et à Madagascar (Asecna).
Projet de marché unique
Les ministres ont également réfléchi sur un certain nombre de projets, notamment celui relatif au marché unique du transport aérien en Afrique.
Pas de risque zéro
« Aucun pays dans ce monde ne peut se targuer d’avoir zéro incident ou être à l’abri des incidents », a déclaré Latta Dokisime Gnama, représentant du ministre togolais des Transports et lui-même pilote de ligne
Le risque zéro n’existe nulle part. Toutefois, certaines mesures de prévention permettant d’éviter des catastrophes s’imposent aux Etats et aux compagnies. Certains pays comme le Sénégal ont interdit les 737 MAX dans leur espace aérien.
« C’est le 737 MAX 8 et 9 qui est visé. Par exemple, Mauritanian Airlines qui en a un l’a cloué au sol mais sur la zone, il n’y en a pas tant que ça. Par contre, il y a des appareils de ce type appartenant à d’autres compagnies qui survolaient notre espace, Ethiopian bien sûr, Turkish, mais eux-mêmes ont suspendu les vols de ces appareils », a souligné Jean-François Desmazières, président du Conseil d’administration de la l’Agence pour la sécurité de la navigation aérienne en Afrique et à Madagascar (Asecna).
Projet de marché unique
Les ministres ont également réfléchi sur un certain nombre de projets, notamment celui relatif au marché unique du transport aérien en Afrique.
Autres articles
-
En Namibie, un ministre suspecté de viols démis de ses fonctions
-
Charte des partis politiques au Mali: les recommandations du Forum des forces vives
-
Panne d'électricité massive dans la péninsule ibérique: le courant rétabli à près de 90% en Espagne continentale
-
Syrie: plusieurs morts dans des affrontements entre forces de sécurité et combattants druzes près de Damas
-
Bénin: deux ans de prison ferme requis contre l'ancien directeur de la police Philippe Houndégnon