Faire mieux que son prédécesseur en ne léguant aucune dette à son remplacement si jamais il venait de quitter la mairie de Dakar en 2014. C’est la volonté manifestée par Khalifa Sall qui présidait hier jeudi une séance plénière du Conseil municipal de la ville de Dakar, avec à l’ordre du jour le vote de la réaffectation d’une partie de l’excédent budgétaire, le vote du compte administratif 2012 ainsi que le programme triennal d’investissement en matière d’équipements sanitaires.
Après avoir indiqué que de « douces » dettes seulement seront léguées, si jamais il quittait la mairie en 2014, le maire de Dakar a indiqué ne pas vouloir se mettre sur la voie tracée par son devancier Pape Diop dont il avait décrié la gestion en 2009 au moment de sa prise de fonction, soulignant des trous béants causés par des dépenses engagées et non mandatées. « Nous ne voulons pas faire comme notre prédécesseur, nous ne voulons pas que ceux qui vont nous remplacer trouvent des impayés. C’est cela notre préoccupation », a fait savoir le maire socialiste qui dans les colonnes de « L’as » poursuit : « c’est pour cela que nous avons mené le budget 2012 de cette manière pour le paiement de toutes les dettes et de tous les engagements à court terme et les investissements dans de grandes infrastructures ».
Après avoir indiqué que de « douces » dettes seulement seront léguées, si jamais il quittait la mairie en 2014, le maire de Dakar a indiqué ne pas vouloir se mettre sur la voie tracée par son devancier Pape Diop dont il avait décrié la gestion en 2009 au moment de sa prise de fonction, soulignant des trous béants causés par des dépenses engagées et non mandatées. « Nous ne voulons pas faire comme notre prédécesseur, nous ne voulons pas que ceux qui vont nous remplacer trouvent des impayés. C’est cela notre préoccupation », a fait savoir le maire socialiste qui dans les colonnes de « L’as » poursuit : « c’est pour cela que nous avons mené le budget 2012 de cette manière pour le paiement de toutes les dettes et de tous les engagements à court terme et les investissements dans de grandes infrastructures ».
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