Le Consortium international de journalistes d’investigation (ICIJ), dont Le Monde, est partenaire, a publié une nouvelle série d’articles à partir des documents «Panama Papers». L’ICIJ a souligné que des sociétés issues de 52 des 54 pays africains ont recouru à des structures offshore, participant à l’évaporation de 50 milliards de dollars d’Afrique chaque année.
Les 11, 5 millions de documents issus du cabinet panaméen Mossack Fonseca mettent en lumière le rôle des sociétés offshore dans le pillage du continent. Qu’il s’agisse de l’industrie du diamant en Sierra Léone, des structures de dissimulations des milliardaires nigérians Kolawole Aluko, propriétaire d’un yacht sur lequel Beyonce a passé des vacances et lié à l’ancienne ministre du pétrole nigérienne Diezani Alison- Madueke, ou le recours systématique aux paradis fiscaux par l’industrie extractive, livre «Libération».
Les 11, 5 millions de documents issus du cabinet panaméen Mossack Fonseca mettent en lumière le rôle des sociétés offshore dans le pillage du continent. Qu’il s’agisse de l’industrie du diamant en Sierra Léone, des structures de dissimulations des milliardaires nigérians Kolawole Aluko, propriétaire d’un yacht sur lequel Beyonce a passé des vacances et lié à l’ancienne ministre du pétrole nigérienne Diezani Alison- Madueke, ou le recours systématique aux paradis fiscaux par l’industrie extractive, livre «Libération».
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