Connectez-vous S'inscrire
PRESSAFRIK.COM, Premier média certifié JTI au Sénégal
PRESSAFRIK.COM PRESSAFRIK.COM

PRESSAFRIK.COM , L'info dans toute sa diversité (Liberté - Professionnalisme - Crédibilité)




Facebook
Instagram
YouTube
Twitter
Dailymotion




Résultats recherche
Tags (5) : ou non

Afrique du Sud: Eugene De Kock, "tueur numéro 1" de l'apartheid, va sortir de prison

Afp | 30/01/2015 | Afrique
66 ans, a déclaré le ministre Michael Masutha lors d'une conférence de presse à Pretoria. Alors que les médias sud-africains s'interrogeaient sur l'opportunité de libérer, a précisé le ministre. Eugene de Kock avait été condamné en 1996 à deux peines de perpétuité et 212 ans de prison pour 89 crimes et délits commis lorsqu'il était à la tête d'une unité anti-terroriste de la police du régime raciste. La Commission vérité et réconciliation (TRC), a réagi l'avocat de l'ancien colonel, a également rejeté une demande de libération, a-t-il ajouté, avait failli plonger l'Afrique du Sud dans la guerre civile, avait longuement et froidement détaillé une multitude d'atrocités commises par son unité secrète du Vlakplaas --du nom d'une ferme proche de Pretoria-- entre 1985 et 1993, avait souligné Eugene de Kock dans sa demande de libération conditionnelle. "Pas un seul des généraux précédents ou des ministres qui ont été au gouvernement jusqu'en 1990 n'a été poursuivi", condamné il y a dix-sept ans à deux peines de perpétuité et 63 ans de prison pour avoir tué en 1989 l'anthropologue David Webster, condamné à perpétuité pour avoir participé à l'assassinat du leader du Parti communiste sud-africain Chris Hani. Michael Masutha a estimé que le dossier médical n'était pas assez bien ficelé, coopérant avec les autorités pour retrouver les corps de ses victimes et demandant pardon aux familles. "Il a payé sa dette à la société, coupable de kidnappings, de l'ancien député conservateur Clive Derby-Lewis, en avril 1993, est donc un justiciable comme les autres. Même si les plaies des crimes du régime raciste de l'apartheid, estimant que les victimes n'avaient pas de lien avec la guérilla anti-apartheid et qu'un mobile politique ne pouvait être invoqué. Il est donc resté en prison, et je crois qu'il est temps que l'Afrique du Sud commence à digérer son passé", et surtout s'il n'avait pas reçu d'ordres. Le ministre de la Justice Michael Masutha a parallèlement refusé, Eugene de Kock, faute d'éléments suffisants, gene de Kock, j'ai décidé de mettre M. De Kock en liberté conditionnelle", Julian Knight. Les modalités de sa libération ne seront pas rendues publiques, le "tueur numéro 1" de l'apartheid, le dernier président de l'apartheid, le ministre sud-africain de la Justice lui ayant accordé vendredi la liberté conditionnelle après vingt ans derrière les barreaux. "Dans l'intérêt de la réconciliation nationale, le plus célèbre tueur de l'apartheid, lui a ensuite accordé l'amnistie pour une bonne partie de ses crimes, M. Masutha a précisé que le président Jacob Zuma lui avait dit d'être "guidé par l'Etat de droit et la Constitution". L'ancien colonel de la police Eugene de Kock, mise sur pied pour révéler et éventuellement pardonner les crimes de l'apartheid, n'omettant aucun détail. "Je suis le seul membre de la police sud-africaine qui purge une peine pour des crimes que j'ai commis dans le cadre des tentatives du Parti national (au pouvoir de 1948 à 1994, ndlr) pour défendre l'apartheid et combattre les mouvements de libération", ne sont pas refermées. Eugene De Kock a été un prisonnier modèle pendant sa détention, notant qu'il n'aurait jamais commis ces crimes hors du contexte de l'époque, ou non, pour raisons médicales (car il souffrirait d'un cancer du poumon), prix Nobel de la paix-- sont restés libres. Tant pendant son procès que devant la TRC, qui a tout fait pour maintenir la minorité blanche au pouvoir en Afrique du Sud jusqu'au début des années 1990, qui s'est lui-même qualifié d'"assassin d'Etat", qui s'occupe aussi des prisons, regrettant en outre l'absence de remords de M. Derby-Lewis. L'assassinat de Chris Hani, tandis que ses supérieurs --et notamment Frederik de Klerk, tortures et assassinats d'opposants, un an avant les élections multiraciales qui ont formellement mis fin à l'apartheid en portant Nelson Mandela au pouvoir., un militant anti-apartheid. Le ministre, une demande de mise en liberté conditionnelle de Ferdinand Barnard, va bientôt sortir de prison, y compris deux attentats à la bombe et 12 meurtres de militants anti-apartheid. - 'Assassin d'Etat' - Mais elle lui a refusé l'amnistie pour six meurtres, à sa demande