Conscient du rôle stratégique que joue l'agriculture, le candidat Idrissa Seck entend moderniser ce secteur qui croupit dans la tradition. L'agriculture sénégalaise employant près de 60% de la population active utilise encore des moyens rudimentaires. En plus, elle dépend largement de la pluviométrie, d'où le faible rendement des récoltes.
" Le secteur agricole est au cœur de l’économie nationale sénégalaise. Les rendements de l’agriculture sont largement tributaires de la pluviométrie. L’état de dépérissement de l’agriculture et de l’élevage, secteur qui concerne une bonne partie de la population active, est au centre des préoccupations des Sénégalais, en raison du désarroi que cette situation a installé en milieu rural", s'alarme la coalition d'Idrissa dans son document de programme. De plus, ajoute ses membres, " les techniques et les facteurs de production sont mal maîtrisés (équipements, sols, engrais, pesticides, semences, eau …). Le choix des spéculations a été très souvent hasardeux et en porte-à-faux avec les réalités du marché mondial. Le portefeuille de produits de notre pays ne permet pas aujourd’hui d’en tirer des revenus significatifs. En outre, si la fonction principale de l’agriculture est d’assurer la souveraineté alimentaire, force est de reconnaître que les politiques mises en œuvre n’ont pas permis d’atteindre cet objectif légitime".
Dans le cadre d'une agriculture plus porteuse et moderne, Pacte Idy 2024, fait entre autres propositions pour ce secteur : la réalisation des infrastructures hydroagricoles nécessaires pour accroitre et diversifier les productions agricoles, la mise en place des agrovilles afin d’attirer les jeunes vers l’agriculture, le renforcement des institutions de recherches ( ISRA, Universités etc) et la création d'une banque des semences certifiées etc.
Comme l'agriculture, Pacte Idy 2024 n'a pas omis de parler du secteur de l'élevage. "L’Elevage, de l'avis des experts en la matière travaillant avec la coalition d'Idrissa Seck, "constitue l’une des principales activités génératrices de revenus et pourvoyeuses d’emplois des populations rurales". Toutefois, s'alarment ces mêmes experts, "le poids du sous-secteur au PIB est relativement faible. Cette situation laisse entrevoir les difficultés auxquelles il reste confronté. L’élevage au Sénégal est encore au stade traditionnel".
" Le secteur agricole est au cœur de l’économie nationale sénégalaise. Les rendements de l’agriculture sont largement tributaires de la pluviométrie. L’état de dépérissement de l’agriculture et de l’élevage, secteur qui concerne une bonne partie de la population active, est au centre des préoccupations des Sénégalais, en raison du désarroi que cette situation a installé en milieu rural", s'alarme la coalition d'Idrissa dans son document de programme. De plus, ajoute ses membres, " les techniques et les facteurs de production sont mal maîtrisés (équipements, sols, engrais, pesticides, semences, eau …). Le choix des spéculations a été très souvent hasardeux et en porte-à-faux avec les réalités du marché mondial. Le portefeuille de produits de notre pays ne permet pas aujourd’hui d’en tirer des revenus significatifs. En outre, si la fonction principale de l’agriculture est d’assurer la souveraineté alimentaire, force est de reconnaître que les politiques mises en œuvre n’ont pas permis d’atteindre cet objectif légitime".
Dans le cadre d'une agriculture plus porteuse et moderne, Pacte Idy 2024, fait entre autres propositions pour ce secteur : la réalisation des infrastructures hydroagricoles nécessaires pour accroitre et diversifier les productions agricoles, la mise en place des agrovilles afin d’attirer les jeunes vers l’agriculture, le renforcement des institutions de recherches ( ISRA, Universités etc) et la création d'une banque des semences certifiées etc.
Comme l'agriculture, Pacte Idy 2024 n'a pas omis de parler du secteur de l'élevage. "L’Elevage, de l'avis des experts en la matière travaillant avec la coalition d'Idrissa Seck, "constitue l’une des principales activités génératrices de revenus et pourvoyeuses d’emplois des populations rurales". Toutefois, s'alarment ces mêmes experts, "le poids du sous-secteur au PIB est relativement faible. Cette situation laisse entrevoir les difficultés auxquelles il reste confronté. L’élevage au Sénégal est encore au stade traditionnel".
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