Présent à la rencontre entre le ministre de l'Intérieur et des partis de l'opposition sénégalaise, le président du Parti pour l'unité et le rassemblement (Pur), Issa Sall a exigé que le dialogue national prévu le 28 mai 2019, soit modéré par une personnalité neutre et non par un membre de l'administration.
"Si nous sommes là aujourd'hui, c'est parce que nous voulons la paix. Je veux savoir qui va modérer le dialogue national. Nous qui sommes dans le Front, pensons que l'administration ne doit pas modérer le dialogue", dit-il.
Issa Sall a exigé que le dialogue national, qui doit se tenir le 28 mai, soit modéré par une personnalité neutre, en qui tout le monde a confiance. "En ce moment nous pouvons parler de tout les questions dans un dialogue paritaire. Nous sommes d'accord pour le dialogue, mais pas pour qu'il soit modéré par ceux qui nous appellent", dit-il.
Lui emboîtant le pas, la présidente du mouvement " Car leneen", Hamsatou Sow Sidibé, a demandé la mise en place d'un comité qui va s'occuper de l'organisation du suivi et de l'évaluation, "sinon c'est une perte de temps, car le dialogue n'aura pas de sens". Pour elle, s'il s'agit de discuter sur les préoccupations des populations, ce n'est pas le ministre de l'Intérieur qui doit diriger la réunion.
"Si nous sommes là aujourd'hui, c'est parce que nous voulons la paix. Je veux savoir qui va modérer le dialogue national. Nous qui sommes dans le Front, pensons que l'administration ne doit pas modérer le dialogue", dit-il.
Issa Sall a exigé que le dialogue national, qui doit se tenir le 28 mai, soit modéré par une personnalité neutre, en qui tout le monde a confiance. "En ce moment nous pouvons parler de tout les questions dans un dialogue paritaire. Nous sommes d'accord pour le dialogue, mais pas pour qu'il soit modéré par ceux qui nous appellent", dit-il.
Lui emboîtant le pas, la présidente du mouvement " Car leneen", Hamsatou Sow Sidibé, a demandé la mise en place d'un comité qui va s'occuper de l'organisation du suivi et de l'évaluation, "sinon c'est une perte de temps, car le dialogue n'aura pas de sens". Pour elle, s'il s'agit de discuter sur les préoccupations des populations, ce n'est pas le ministre de l'Intérieur qui doit diriger la réunion.
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