Les évènements du 23 juin relativement au projet de loi sur le ticket présidentiel ont amené le président de la République, Me Abdoulaye Wade a convoqué une réunion de crise au palais présidentiel ce samedi 25 juin pour tenter de donner suite aux revendications de l'opposition, de la société civile et du peuple de manière générale. Et dans le même sillage, il devrait rencontrer l'Alliance Sopi pour Toujours (AST) pour savoir quelle conduite à tenir face à ce désaveu du peuple.
Cette réunion a réuni plus d'une dizaine de responsables libéraux dont Me El Hadji Amadou Sall, Aliou Sow, le nouveau secrétaire général de l'UJTL, Mody Bara Gaye, entre autres. Il serait question lors de cette rencontre d'étudier si vraiment il doit renoncer à sa candidature de la présidentielle de février 2012 mais aussi s'il doit revoir à la baisse le nombre de ministres du gouvernement. Une série de propositions est ainsi sur la table du chef de l'Etat en plus de la résolution qu'il s'est faite des évènements du jeudi 23 juin 2011. C'est par rapport à tout cela qu'il devra prendre une décision et dire s'il va se présenter, si vraiment un gouvernement d'union national sera mis en place.
Lors de cette réunion, beaucoup de responsables libéraux ont opposé un niet catégorique quant à la mise en place ou la consultation de certains responsables de l'opposition ou de la société civile pour un gouvernement d'union nationale. C'est l'une des raisons qui incitent à penser que cette idée sera écartée.
Me El Hadji Amadou Sall a lors d'une intervention à la RFM confié que le comité directeur du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) au pouvoir devrait se réunir lundi et qu'à l'issue de cette réunion un communiqué ou une déclaration sera envoyés à la presse.
Pour l'instant, c'est encore diffus et cela tire dans tous les sens. On peut dire avec exactitude ce qui se trame. Mais ce qui est sûr c'est qu'Abdoulaye Wade veut donner une réponse appropriée aux évènements du 23 juin 2011 et a besoin de consulter toutes les sensibilités de son parti, de ses alliés et de personnalités, leaders d'opinion avant de s'adresser au peuple sous quelque manière que ce soit. Le chef de l'Etat veut ainsi éviter ce qui lui est arrivé avec le projet de loi sur le ticket présidentiel qui a été ficelé et validé par le conseil des ministres dans une parfaite confidentialité et qui a été finalement à l'origine d'un soulèvement populaire au Sénégal. Lequel soulèvement a fait trembler le pouvoir actuel.
Cette réunion a réuni plus d'une dizaine de responsables libéraux dont Me El Hadji Amadou Sall, Aliou Sow, le nouveau secrétaire général de l'UJTL, Mody Bara Gaye, entre autres. Il serait question lors de cette rencontre d'étudier si vraiment il doit renoncer à sa candidature de la présidentielle de février 2012 mais aussi s'il doit revoir à la baisse le nombre de ministres du gouvernement. Une série de propositions est ainsi sur la table du chef de l'Etat en plus de la résolution qu'il s'est faite des évènements du jeudi 23 juin 2011. C'est par rapport à tout cela qu'il devra prendre une décision et dire s'il va se présenter, si vraiment un gouvernement d'union national sera mis en place.
Lors de cette réunion, beaucoup de responsables libéraux ont opposé un niet catégorique quant à la mise en place ou la consultation de certains responsables de l'opposition ou de la société civile pour un gouvernement d'union nationale. C'est l'une des raisons qui incitent à penser que cette idée sera écartée.
Me El Hadji Amadou Sall a lors d'une intervention à la RFM confié que le comité directeur du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) au pouvoir devrait se réunir lundi et qu'à l'issue de cette réunion un communiqué ou une déclaration sera envoyés à la presse.
Pour l'instant, c'est encore diffus et cela tire dans tous les sens. On peut dire avec exactitude ce qui se trame. Mais ce qui est sûr c'est qu'Abdoulaye Wade veut donner une réponse appropriée aux évènements du 23 juin 2011 et a besoin de consulter toutes les sensibilités de son parti, de ses alliés et de personnalités, leaders d'opinion avant de s'adresser au peuple sous quelque manière que ce soit. Le chef de l'Etat veut ainsi éviter ce qui lui est arrivé avec le projet de loi sur le ticket présidentiel qui a été ficelé et validé par le conseil des ministres dans une parfaite confidentialité et qui a été finalement à l'origine d'un soulèvement populaire au Sénégal. Lequel soulèvement a fait trembler le pouvoir actuel.
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