
Madické Niang, Ministre des Affaires étrangères estime que le pays présente un visage bien meilleur. A l’occasion de la célébration de la journée mondiale de lutte contre la corruption, Madické Niang s’est exprimé sur le classement fait par Transparency international. « Nous ne comprenons pas sur quelle base ce classement est fait, d’autant plus que le Sénégal est toujours cité comme un pays réformateur ».
Pour le patron de la diplomatie sénégalaise, le pays dispose d’assez d’instruments de contrôle et de vérification des procédures pour mériter un meilleur classement. Selon lui, ce classement n’a aucune importance. « Ce qui compte, ce n’est pas le classement, mais la volonté de lutter contre la corruption. Or, le Sénégal a la volonté de lutter contre la corruption ».
Il a été aussi question d’impunité dans ce rapport de Transparency international. Comme pour la corruption, Madické Niang balaie d’un coup de pied ces révélations. « Il n’y a pas d’impunité au Sénégal. C’est plutôt de la présomption d’innocence. Si un individu fait l’objet de soupçons, une enquête est menée. Mais si la charge n’est pas avérée, il est normal qu’il soit relaxé. Et on doit savoir qu’entre la présomption de culpabilité et la réalité des faits, il y a un terrain immense ».
Mais il reconnaît tout de même l’existence du phénomène au Sénégal comme partout ailleurs. Pour aller plus loin, le ministre des Affaires étrangères soutient le phénomène de la corruption n’est pas l’apanage des africains. A l’en croire, c’est le cas en Inde, aux États-Unis et ailleurs.
Pour le patron de la diplomatie sénégalaise, le pays dispose d’assez d’instruments de contrôle et de vérification des procédures pour mériter un meilleur classement. Selon lui, ce classement n’a aucune importance. « Ce qui compte, ce n’est pas le classement, mais la volonté de lutter contre la corruption. Or, le Sénégal a la volonté de lutter contre la corruption ».
Il a été aussi question d’impunité dans ce rapport de Transparency international. Comme pour la corruption, Madické Niang balaie d’un coup de pied ces révélations. « Il n’y a pas d’impunité au Sénégal. C’est plutôt de la présomption d’innocence. Si un individu fait l’objet de soupçons, une enquête est menée. Mais si la charge n’est pas avérée, il est normal qu’il soit relaxé. Et on doit savoir qu’entre la présomption de culpabilité et la réalité des faits, il y a un terrain immense ».
Mais il reconnaît tout de même l’existence du phénomène au Sénégal comme partout ailleurs. Pour aller plus loin, le ministre des Affaires étrangères soutient le phénomène de la corruption n’est pas l’apanage des africains. A l’en croire, c’est le cas en Inde, aux États-Unis et ailleurs.
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