
"J’avais ras-le-bol du système. L’Etat se souciait de ses propres intérêts en faisant des fêtes, en faisant des monuments de la renaissance de plusieurs milliards qui n’apportaient rien comme développement. Donc, je ne pouvais plus supporter ce régime (…), et en tant que rappeur, il fallait que je dise : on en a assez ! (…). C’était comme si c’est moi qui ai gagné. Comme si chacun de nous était élu président. C’était extraordinaire ! C’était émouvant. A un moment donné, j’ai même pleuré !", s'est confié l'auteur de la célèbre chanson "Gor gui na dem".
Autres articles
-
Dialogue politique : Cheikh Tidiane Gadio et son mouvement annoncent leur participation
-
Affaire Ismaila Madior Fall : Papa Malick Ndour y voit «une opération d'humiliation »
-
Dialogue politique: le Facilitateur en tournée auprès des guides religieux pour asseoir un consensus national
-
Thierno Bocoum charge Sonko après son entretien à la RTB : « une vision populiste, confuse et dangereusement relativiste »
-
Corruption présumée : Ismaïla Madior Fall placé sous bracelet électronique