Cela fait presque deux ans que la Cour d’appel de Dakar a blanchi Mme Aïda Ndiongue avant d’ordonner à l’Etat de lui restituer ses biens et avoirs estimés à une dizaine de milliards cfa. Pour l’opinion, la femme politique et businesswoman devait certainement baigner dans l’opulence. Erreur ! Selon le journal Le Témoin, depuis lors, aucun franc n’a été restitué à l’ex-sénatrice qui souffre actuellement d’un sentiment d’injustice morale et financière.
Avocats, parents, amis et sympathisants prennent l’opinion à témoin. Le mal d’un sentiment d’injustice morale et financière est profond chez Mme Aida Ndiongue. Pour cause, depuis l’ordonnance de non-lieu rendue par la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) suivie d’une décision de la Cour d’appel demandant la restitution de ses biens et avoirs, Mme Aida Ndiongue peine à retrouver son patrimoine.
Un des avocats de la défense se désole : « Dans cette affaire, les avocats ont déjà fait leur travail jusqu’à ce que toutes les procédures aboutissent à des ordonnances de non-lieu. Mieux, la Justice avait ordonné à l’Etat de restituer tous les biens et avoirs de notre cliente. Et comme l’Etat est incarné par le président de la République, c’est lui qui doit pousser ce même Etat à appliquer cette décision de justice » indique-t-il dans les colonnes du journal, avec un sentiment de désolation.
Renvoyée « arbitrairement » devant les cours et tribunaux, l’ex-sénatrice Mme Aida Ndiongue avait gagné l’ultime bataille de la guerre judiciaire qu’elle menait avec ses avocats contre l’Etat. Devant le Tribunal de Grande instance comme devant la Cour d’appel, elle avait été relaxée. Mieux, ces deux juridictions avaient ordonné la restitution de ses biens et avoirs en se basant sur le fait que l’Etat n’avait subi aucun préjudice. Quant à la Cour Suprême, plus haute juridiction de notre pays, elle avait demandé à l’Etat de restituer les biens en espèces et en nature faisant l’objet d’une saisie et estimés à une dizaine de milliards CFA.
nos confrères rappellent que pour laver cet « affront », l’Etat était revenu à la charge pour tenter de faire basculer Mme Aida Ndiongue dans la mare de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei). Après plusieurs mois d’enquêtes et d’investigations, le Procureur spécial de cette redoutable Cour avait estimé que les charges retenues contre Mme Aida Ndiongue étaient trop faibles et légères pour mériter des poursuites. Joignant le geste à la parole, le juge d’instruction avait freiné l’action publique par une ordonnance de non-lieu !
A l’époque, les avocats de Mme Aida Ndiongue et les organisations des droits de l’homme avaient salué le courage et l’indépendance des ma- gistrats de la Crei dans ce dossier. Malheureusement, depuis lors, Mme Aida Ndiongue souffre et court toujours derrière ses biens.
Avocats, parents, amis et sympathisants prennent l’opinion à témoin. Le mal d’un sentiment d’injustice morale et financière est profond chez Mme Aida Ndiongue. Pour cause, depuis l’ordonnance de non-lieu rendue par la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei) suivie d’une décision de la Cour d’appel demandant la restitution de ses biens et avoirs, Mme Aida Ndiongue peine à retrouver son patrimoine.
Un des avocats de la défense se désole : « Dans cette affaire, les avocats ont déjà fait leur travail jusqu’à ce que toutes les procédures aboutissent à des ordonnances de non-lieu. Mieux, la Justice avait ordonné à l’Etat de restituer tous les biens et avoirs de notre cliente. Et comme l’Etat est incarné par le président de la République, c’est lui qui doit pousser ce même Etat à appliquer cette décision de justice » indique-t-il dans les colonnes du journal, avec un sentiment de désolation.
Renvoyée « arbitrairement » devant les cours et tribunaux, l’ex-sénatrice Mme Aida Ndiongue avait gagné l’ultime bataille de la guerre judiciaire qu’elle menait avec ses avocats contre l’Etat. Devant le Tribunal de Grande instance comme devant la Cour d’appel, elle avait été relaxée. Mieux, ces deux juridictions avaient ordonné la restitution de ses biens et avoirs en se basant sur le fait que l’Etat n’avait subi aucun préjudice. Quant à la Cour Suprême, plus haute juridiction de notre pays, elle avait demandé à l’Etat de restituer les biens en espèces et en nature faisant l’objet d’une saisie et estimés à une dizaine de milliards CFA.
nos confrères rappellent que pour laver cet « affront », l’Etat était revenu à la charge pour tenter de faire basculer Mme Aida Ndiongue dans la mare de la Cour de répression de l’enrichissement illicite (Crei). Après plusieurs mois d’enquêtes et d’investigations, le Procureur spécial de cette redoutable Cour avait estimé que les charges retenues contre Mme Aida Ndiongue étaient trop faibles et légères pour mériter des poursuites. Joignant le geste à la parole, le juge d’instruction avait freiné l’action publique par une ordonnance de non-lieu !
A l’époque, les avocats de Mme Aida Ndiongue et les organisations des droits de l’homme avaient salué le courage et l’indépendance des ma- gistrats de la Crei dans ce dossier. Malheureusement, depuis lors, Mme Aida Ndiongue souffre et court toujours derrière ses biens.
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